
Le DFCO illustre parfaitement le tournant économique que traverse l'Arkema Première Ligue. Le club bourguignon, dont l'équipe masculine évolue en National, ne peut plus subventionner durablement sa section féminine.
Le président Pierre-Henri Deballon est lucide : "A l’avenir, le football féminin va devoir générer ses propres revenus". Le soutien des collectivités, bien que réel (300 000 € de subventions), ne représente que 10 % du budget de l'équipe et n'est "pas suffisant pour maintenir un club féminin au plus haut niveau".
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