
(De la purée réchauffée). Épisode inspiré d’un morceau éclaté de ma vie et des films à la praline. Pour la petite histoire, j’ai écrit ça il y a quelques mois après une soirée à dévorer un pot de glace à la noix de pécan, et une rencontre avec un mauvais garçon.
Tu te souviens de cette série, ce film. Cette histoire amour vanille, baise érotique qui te fait mouiller ta culotte (ou ton slip), qui te provoque des frissons dans tout corps, avec une envie de courir rejoindre la personne à qui tu penses au moment même où tu me lis. Tu te rappelles aussi cette scène de drame, de non-dit entre eux. Ils sont incapables de se parler, d'en parler. Parce que tous les deux ont des blessures profondes. Et toi avec tes pop-corn et ton verre de vin à la main, tu te dis "putin les gars, c’est du gâchis, merde, c’est plus simple de se parler."
Il y a toujours une morale dans les histoires, dans les films, les livres qui révèlent des vérités, qui nous inspirent.
Pour moi, la morale de l’histoire, les non dits sont souffrances, laissent l'imagination, la noirceur posséder ton esprit et abîment la confiance, l’amour.