Et si l'essence même des pratiques visuelles se donnait à entendre? C'est l'ambition de ce podcast sur la pensée visuelle. Je vous propose, pour une fois, de fermer les yeux et d'ouvrir grand vos oreilles. Nous partons à la découverte de la face cachée de la facilitation graphique, à travers les voix de celles et ceux qui la pratiquent. Des récits intimes, à des conseils d'experts, d'un praticien débutant à une personne plus experte, ce podcast fait la part belle aux personnes et à leurs explorations. C'est aussi l'occasion pour moi de vous partager mon expérience de facilitateur graphique et de formateur depuis 13 ans, avec des repères, des astuces et des pratiques décalées ... Ce premier podcast en France, dédié à la pensée visuelle, donne l'occasion de favoriser les rencontres, de vous insuffler une énergie créative pour ensemble féconder de nouvelles aventures. Bienvenue sur ce podcast "La pensée visuelle en ébullition"
Merci à :
Benoit Jaheny pour le prêt de sa voix dans les jingles. Il est formateur-conférencier et expert dans les relations adultes-enfants les jeunes. Voir son site www.adultenfant.fr
Pierre Martin pour son interprétation majestueuse à l'accordéon. Il donne à cet instrument un élan swing-manouche dès plus contemporain. Voir son site https://www.kia-ora.fr/
Jeanne Dobriansky pour son accompagnement précieux dans l'émergence de ce projet. Voir son site https://alliam.fr/
1. Penser autrement par le visuel !
Après 13 ans d’expérience de formateur-consultant et de facilitateur graphique, je vous propose :
- des séances de coaching personnalisée. En visio et adapté à votre projet, du sur mesure !
- des formations sur site pour maîtriser les compétences en pensée visuelle
- de venir faciliter graphiquement vos événements, vos séminaires en créant des fresques sur différents supports et des livrets pliables
- des outils visuels innovants et créatifs
2. Le réseau Linkedin Je diffuse régulièrement des supports visuels sur mon compte linkedin à destination des formateurs, des consultants, des accompagnateurs, des responsables de projets …
3. Le réseau Instagram Découvrez la face cachée du podcast « La pensée visuelle en ébullition » sur mon compte sur réseau instagram
4. La page web du podcast-blog Retrouvez l’ensemble des interviews diffusés sur la page web du podcast
5. Votre avis: Si le podcast vous plaît, je vous invite à laisser un avis 5 étoiles ou un commentaire sur l’application iTunes. Cela aide à faire connaître ce podcast à une plus grande communauté, Merci !
Partagez vos questions, vos envies pour les futurs interviews dans le sondage présent sur www.esimon-visuel.com/podcast
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si l'essence même des pratiques visuelles se donnait à entendre? C'est l'ambition de ce podcast sur la pensée visuelle. Je vous propose, pour une fois, de fermer les yeux et d'ouvrir grand vos oreilles. Nous partons à la découverte de la face cachée de la facilitation graphique, à travers les voix de celles et ceux qui la pratiquent. Des récits intimes, à des conseils d'experts, d'un praticien débutant à une personne plus experte, ce podcast fait la part belle aux personnes et à leurs explorations. C'est aussi l'occasion pour moi de vous partager mon expérience de facilitateur graphique et de formateur depuis 13 ans, avec des repères, des astuces et des pratiques décalées ... Ce premier podcast en France, dédié à la pensée visuelle, donne l'occasion de favoriser les rencontres, de vous insuffler une énergie créative pour ensemble féconder de nouvelles aventures. Bienvenue sur ce podcast "La pensée visuelle en ébullition"
Merci à :
Benoit Jaheny pour le prêt de sa voix dans les jingles. Il est formateur-conférencier et expert dans les relations adultes-enfants les jeunes. Voir son site www.adultenfant.fr
Pierre Martin pour son interprétation majestueuse à l'accordéon. Il donne à cet instrument un élan swing-manouche dès plus contemporain. Voir son site https://www.kia-ora.fr/
Jeanne Dobriansky pour son accompagnement précieux dans l'émergence de ce projet. Voir son site https://alliam.fr/
1. Penser autrement par le visuel !
Après 13 ans d’expérience de formateur-consultant et de facilitateur graphique, je vous propose :
- des séances de coaching personnalisée. En visio et adapté à votre projet, du sur mesure !
- des formations sur site pour maîtriser les compétences en pensée visuelle
- de venir faciliter graphiquement vos événements, vos séminaires en créant des fresques sur différents supports et des livrets pliables
- des outils visuels innovants et créatifs
2. Le réseau Linkedin Je diffuse régulièrement des supports visuels sur mon compte linkedin à destination des formateurs, des consultants, des accompagnateurs, des responsables de projets …
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Nicolas Gros
Facilitateur graphique depuis plus de 20 ans et formateur.
Auteur d'un ouvrage intitulé "Le Grand livre de la facilitation graphique"
Son site
Voici quelques extraits du podcast :
« Dans le style graphique, je ne pense pas avoir tant évolué que cela par contre j’ai eu des va y vient entre deux pôles extrêmes entre pas de dessins et trop de dessins
« Il y a beaucoup de choses qui se passe autour du visuel et on en fait tout un plat alors que le sujet n’est pas le visuel mais l’impact qu’à le visuel sur la pensée, sur un groupe ; Et c’est cet impact qu’on va chercher à travailler, à créer, à mitiger, à gérer, c’est cela la facilitation, sinon c’est juste du graphisme ou de l’illustration»
« Ce que tu produis en doit pas être le visuel mais l’impact qu’aura le visuel sur le groupe »
« il me parait important de distinguer ce qui est du moyen, de l’objectif, de la méthode »
« C’est non pas l’effet Ouahhou mais Ah Ouais ! au sens ah ok maintenant j’ai compris»
« Je préfère rendre le sujet palpable, tangible, compréhensible, accessible pour que les gens puissent s’en saisir et qu’il le voit d’une façon qui les aide à avancer dans leurs compréhensions. Cela ne parle pas de sa qualité esthétique mais de sa qualité de sens »
« Je préfère un croquis tout pourri qui dénoue une discussion qu’un très joli dessin qui tue une idée. »
« (Au niveau de l’écoute lors d’une transcription visuelle d’une discussion en temps réel), entre le tout début et maintenant, c’est le jour et la nuit ! Avant je ne savais pas ce qu’il fallait écouter, on m’avait rien dit. (…) Depuis, plusieurs choses ont évolué, d’abord la préparation de mon écoute. La discussion prend corps dans une poupée russe de contexte. Si tu n’as pas analysé ces contextes en amont, il te manque des clés de lecture pour comprendre ce qui est en train de se passer. « « C’est comme si on calibrait son écoute grâce aux informations analysées que tu vas récolter avant , non pas ce que l’on va se dire mais pourquoi nous allons avoir cette discussion»
« Tiens quand j’entends quelque chose, quel sens cela peut avoir ? Quelle importance ?
« Si la discussion tourne en rond ou se répète, … le fait de ne pas capturer a aussi un impact sur leur discussion. »
« Le numérique, c’est moins ma tasse de thé, même si je travaille aussi avec ces outil, parce que ce n’est pas la même posture physique, on n’a pas le même rapport aux personnes, on n’est pas dans la même ambiance, le même type d’engagement. Après il y a des situations qui nécessitent que cela soit digital.» Avec le digital, il y souvent qu’un écran, on retrouve un canal linéaire où la cartographie disparait au profit d’une nouvelle. … Le support physique reste pour moi quelque chose d’incomparable »
« la croyance fondamentale, c’est qu’il faut savoir dessiner. Pourquoi ? Parce que le visuel est prégnant, il est physique, il est visible. Donc, il prend une place, donc on a l’impression que c’est tout un sujet. Alors que lorsque regarde techniquement ce qu’il est nécessaire de réaliser graphiquement, il n’y a pas vraiment grand-chose, c’est très accessible. Tout l’enjeu est autre part, dans la posture, dans la sélection des informations, dans la compréhension des liens qu’on peut tisser. »
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Après une carrière d'architecte, d'illustratrice et de directrice à la fondation d'Auteuil, Anne BOSQUET vous partage sa passion pour la facilitation graphique dans les univers professionnels. La pensée visuelle lui donne l'occasion de faire de belles rencontres et de se lancer de beaux défis. Sa plus grande production se trouve en altitude, dans un refuge de haute montagne !
Anne est facilitatrice graphique près de Briançon.
« Le dessin a toujours été présent dans ma vie … mais j’avais avant un rapport personnel difficile avec l’art comme métier. »
« C’est une démarche où l’outil visuel a sa place mais de façon simple et décomplexée : il n’y a pas d’enjeux artistiques. »
Etant dans une grosse structure avant, j’ai pu l’expérimenter sous différentes facettes : 1-La façon de prendre des notes, et je ne me suis plus jamais ennuyée en réunion, ce qui était plutôt une vraie révolution. Parce que j’étais devenu active en prenant mes notes. 2- pour communiquer en travail d’équipe, 3- mes premiers scribbings en grand format en interne »
« En fin réunion, « Ah mes c’est génial tes notes, tu peux me faire une photocopie ? » et quand je vois que ce compte-rendu est affiché dans le bureau des collègues. C’est quand même rare qu’un compte-rendu soit affiché dans un bureau ! »»
« C’est un outil accessible et sobre par rapport à la puissance qu’il permet. La facilitation graphique capte l’attention, elle a quelque chose de magique.» « C’est un outil efficace à la mémorisation, à la compréhension commune, à la réflexion. Cela permet d’avoir de nouvelles idées seul ou en groupe. Cela permet aussi d’exprimer des choses délicates, difficiles, parfois compliquées qu’on ne pourrait pas dire ou écrire tel quel dans un compte-rendu.»
« Le terrain d’expérimentation est infini. »
« Vous avez dessiné à la main et c’est tellement humain »
« La langue française est imagée et je crois que je suis arrivé à 180 métaphores. »
« C’est drôle. On parle de choses sérieuses mais de manière un peu plus légère et amusante. Cela fait descendre la pression dans nos cerveaux et cela nous autorise à penser un peu différemment »
« J’ai gagné un concours pour installer des panneaux acoustiques dans un refuge de haute montagne. » « C’est la production la plus grande, la plus haute mais surtout la plus pérenne. Souvent on travaille sur des événements sur de la communication qui sont très importantes sur le moment mais qui ne vont pas durer. Elles ne vont pas rester 10 ans nos facilitations graphiques. Et là, en voyant ces panneaux, je me suis dit « ah on peut aussi en faire pour des objets plus pérennes. » »
« IL y a deux compétences que je n’ai jamais lâché dans ma carrière : 1-le recours au visuel, au dessin et 2- le fait de mettre toujours des projets en œuvre »
« Quand je fais du scribbing j’aime bien avoir en amont des informations, une structure, (c’est mon côté architecte), j’ai besoin du plan mais à l’intérieur de ces espaces, je me laisse porter. »
« Dans les prochaines années, je pense qu’il y a encore une belle marge de progression pour redonner sa place au dessin dans le milieu professionnel. C’est à la fois de plus en plus connu mais pas partout Il y a le côté évènementiel mais aussi le côté la pratique en interne dans les équipes. »
« J’aimerai bien qu’on débatte plus sur l’intelligence artificielle. … et qu’on se forme juste comme il faut pour ne pas se faire dépasser. Il y a une belle combinaison à faire. Notamment pour les raisons spécifiques de cet outil, très simple, très sobre, papier -crayon. Pour l’instant, l’IA ne remplace pas cela. »
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Tiphaine BOSDEVEIX
Conseillère en organisation avec un ADN d’innovation, facilitatrice graphique depuis plus de 15 ans et dessinatrice de l’UNvisible, Tiphaine Bosdeveix utilise le visuel pour mettre en miroir ce qu’elle entend, perçoit de l’autre, au delà du visible. Sa pratique originale (massage dessiné, exploration artistique…) permet de restituer à l’UN (et aux autres quand il s’agit d’un groupe) la résonance de l’invisible, des maux et mots du corps.
Après avoir développé la rigueur cartésienne répondant à l’adage « je ne crois que ce que je vois » et avoir utilisé un sketchnote plus classique, plus textuel, Tiphaine explore l’autre polarité « on ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux» au travers d’un dessin symbolique, qui offre des outils de compréhension et de conscience de soi.
Aujourd'hui, facilitatrice graphique dans la fonction publique et naturopathe, en indépendante, avec une proposition originale de massage dessinée.
Au fil des années, Tiphaine a su combiner ces différentes capacités de façon très originale et fluide. Elle exploite la résonance, les intuitions pour proposer un miroir visuel dans des contextes très divers.
Venez découvrir la force du massage dessiné !
Son compte Instagram : @tiphainebosdeveix
« J’ai combiné cette capacité, comme tous les facilitateurs graphiques, à synthétiser, à donner un miroir visuel à l’autre avec mon intention mon ressenti, pour pouvoir, après avoir massé une personne, faire un retour visuel de ce qu’il s’est passé. »
« Quand je masse une personne, il y a un effet de résonnance sur les douleurs de l’autre, sur les blocages, il y a des résonances en termes de sensations, de mots ou d’images »
« Cela permet la production d’un dessin vraiment symbolique » Cela parle bcp à la personne qui a été massée. (…) cela ne laisse jamais indifférent »
« Cet invisible, le corps le sait, il le manifeste de différentes manières, soit par des manifestations purement physique, soit par des manifestations plus subtiles »
« Il s’agit lors de l’entretien de partager des ressentis, des symboliques pour voir si cela fait sens pour la personne. »
« En facilitation graphique, il y a aussi une résonnance de l’énergie des autres dans nos dessins… J’avais déjà cette pratique, mes propres ressentis dans mes pris de note plus classiques. Ensuite j’ai suivi un cursus de formation en Naturopathie, …avec des apprentissages autour des massages qui font partie des pratiques naturopathiques et lors de la prise de notes, elle s’est fait derrière en images pour moi et naturellement, elle a pris une place de plus en plus symbolique autour du ressenti, des intuitions en plus des éléments physiques»
« Ma formation en psychopédagogie m’a permis de comprendre pourquoi j’avais autant besoin de cet outil de miroir visuel. .. j’ai compris sur le tard comment je fonctionnai et pourquoi j’avais tant besoin de ma reformulation visuelle. »
Les points communs entre la facilitation graphique et les massages dessinés ? « la présence qui est très forte quand on facilite graphiquement, quand on réalise un soin pour l’autre, sa connexion à son intuition aussi … de lâcher prise… de faire confiance à son intuition. »
Plus d'infos sur www.esimon-visuel.com
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Elodie DANIEL
Facilitatrice et formatrice en pensée visuelle à Rennes, Elodie DANIEL a lancé, il y a 5 ans des apéro-pictos dans des endroits atypiques pour ouvrir une porte d’entrée à tous dans l’univers de la pensée visuelle.
Son site
« (L’Apéro-picto), C’est l’idée de sortir de la salle de réunion de formation, on est en soirée, on est présent l’espace reste ouvert à d’autres activités et cela peut amener de la curiosité à d’autres personnes « Ah c’est çà l’Apéro picto, je n’avais pas osé mais la prochaine fois je viendrai » Il y a cette ouverture qui est possible. »
« Au début chacun est avec sa petite feuille, dans son espace et petit à petit, on regarde chez les voisins, et on dénonce une superbe idée qu’on a vu chez les voisins. (…) on se dévoile aussi à travers l’autre, cela donne, peut-être, un peu de légitimité alors qu’on aurait essayé de cacher cela. »
« On peut partager ses représentations de chacun et se rendre compte qu’on a une vision très différente et c’est assez magique parfois l’effet que cela peut produire. » « On sort des représentations plus conventionnelles et chercher quelque chose de plus sensible, de plus personnel : une image, une expression, une expérience. »
« (Pour les pictos), je préconise en premier la simplicité, le minimum pour qu’on puisse clarifier et reconnaître la représentation » « Si on n’a plus beaucoup d’encre et qu’on a un message à porter, comment on peut économiser aussi cette encre ? »
« J’ai déjà tester autres formes : le p’tit déj-pictos dans un espace de co-working, le goûter picto dans une médiathèque, (…) selon les opportunités j’aime bien changer de lieux, j’ai testé aussi l’été dernier une balada-picto en nature, de pouvoir s’arrêter, dessiner et discuter. (…) profiter d’être à l’extérieur pour regarder le paysage les éléments qui nous entourent et ensuite le simplifier pour ne pas être dans le cours de dessin. Le risque c’est de vouloir reproduire tous les détails et se dire « oh on est trop nul » Il s’agit de prendre les éléments principaux et de simplifier. »
(Cela permet de montrer que pictos) ont un poids, du sens. Que ce n’est juste un bidouillage parce qu’on arrive pas à se concentrer, et ce n’est pas réserver aux enfants. Ce n’est pas une activité que de loisirs, on peut dire des choses, porter des messages importants en dessinant et en cherchant une représentation visuelle ».
« (Cela permet) de discuter de nos représentations, de voir d’où elles viennent. » et de ce dire qu’une fois qu’on l’a dessiné, on est plus clair sur ce qu’on pense et ce qu’on croit savoir à l’intérieur. »
« Je pense que le picto est une porte rassurante pour débuter, commencer à visualiser un élément … commencer par des choses simples et de réussir ensuite à les coordonner, les articuler entre eux pour créer quelque chose de plus global.» « Mais c’est bien d’avoir l’alphabet, comme dans une langue, pour ensuite faire des phrases. »
« La nature, c’est vraiment un espace d’inspiration pour moi, les magazines d’art, l’architecture, les constructions, les objets, le design, la cuisine, la matière, les textiles, toutes formes de matière »
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Hélène PLASSOUX
IDJINOV, la force des liens.
Coach, consultante et formatrice, Hélène propose des bilans de compétence singulier en exploitant la pensée visuelle et l’approche systémique.
« J’ai découvert la pensée visuelle par le biais de la famille… avec ma fille qui était Neuroatypique, comme on dirait au jourd’hui. … Elle était accompagnée par une orthophoniste à Quimper … qui l’aidait à apprendre à apprendre avec le mindmapping. A force de la regarder, j’ai trouvé cela très efficace. »
« La systémie, c’est un réducteur de complexité. On va chercher à voir comment les systèmes globaux, centrés non pas sur les personnes mais sur les relations entre les personnes et les objets. Et cela c’est très proche de la biologie. »
« Avec la systémie, (il n’est pas nécessaire de savoir dessiner), il suffit de faire des boucles, des flèches. »
« Quand on fait un dessin avec quelqu’un, cela ancre aussi la relation. »
« (la pensée visuelle) est hautement adaptée aux personnes sensibles. »
*Dans les organisations, je vais utiliser la pensée visuelle, avec des gabarits, cela met tout le monde au même niveau. * « C’est une stratégie d’intervention pour créer un changement. C’est aussi intéressant pour les personnes qui sont plus dans leurs pensées de se connecter plus à leurs émotions. »
« J’utilise l pensée visuelle tout le temps aujourd’hui. C’est bien pour tout le monde mais encore plus lorsqu’il y a des personnes hautement sensibles. »
« Je serai (sinon) noyer d’informations, cela irait trop vite. Je m’accroche au dessin pour pouvoir simplifier. C’est un réducteur de complexité, sans chercher forcément de logique. … (pour la personne) cela va externaliser le problème. Elle ne parle plus du problème mais de la carte. Cela facilite, la personne est moins emprise de ses émotions. Et moi cela me permet de mieux comprendre » « Cela facilite la compréhension des choses complexes et cela facilite ce qu’on a dire. »
« J’ai expérimenté, (en accompagnant des personnes) que parfois il ne faut pas de suite venir au dessin. Cela va les mettre en difficulté, il faut passer par leurs canaux. »
« Si c’est le bon outil, au bon moment, les retours sont positifs (en accompagnement) »
« Dans les interventions, je ne suis pas neutre. J’ai une posture neutre mais j’ai une intention, je suis engagé dans la relation. » « J’ai une posture décentrée mais influente dans le système. »
« la modélisation, selon moi, c’est quand tu vas veux avoir une intention dans la façon que tu vas organiser tes informations pour produire un effet »
« Je veux de plus en plus utiliser l’art, l’esthétique pour faciliter les changements. … cela adoucit, cela redonne de la joie.»
« Dans les pratiques narratives,
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A l'occasion des 3 ans du Podcast, on a regardé les statistiques pour repérer les 6 épisodes les plus écoutes depuis la création de ce podcast.
A la position 6, je vous propose de récouter cet épisode avec Jeanne DOBRIANSKY et François DEBAS.
Dans cet épisode je vous partager un truc que j'ai testé autour de l'univers de la Pensée visuelle.
Un des aspects de mon métier de facilitation graphique qui me passionne le plus, c'est la capture en direct lors d'un world café.
Un collectif en discussion face à une fresque blanche qui se nourrit au fil des échanges dans le cadre d'une synthèse d'un world café.
Dans cet épisode, je vous partage une innovation testée cette année auprès d'un collectif de 80 personnes: associer un conteur dans la partie finale.
Je donne la parole à Jeanne DOBRIANSKY, facilitatrice et François DEBAS, conteur.
Envie d'en savoir plus ?
N'hésitez pas à me contacter !
Eric SIMON
Facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle
www.esimon-visuel.com
La semaine prochaine, RDV avec la diffusion du TOP 5 !
Si vous souhaitez sketchnoter cet été avec plaisir et créativité,
Rejoignez le programme "Les récréations visuelles en vacances !"
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Bienvenue à l'anniversaire du Podcast "La Pensée visuelle en ébullition" ! 3ème et dernière partie
On a fête les 3 ans avec une équipe de choc !
Philippe BOUKOBZA, Charlotte VELLY, Aÿa HELENE, Eric SIMON et de nombreuses surprises !
Dans cet épisode, vous allez entendre la 3ème partie de l'émission qui a été enregistrée en direct le vendredi 23 mai 2025.
On y parle :
Belle écoute,
Eric
Quelques extraits d'Eva-Lotta LAMM
« j’ai fait un stage d’observation dans une petit agence web, plutôt dans l’architecture d’information à Paris en 2004, (…) j’ai fait beaucoup de web et de design d’informations »
« Quand j’ai commencé il n’y avait personne, il y avait Mike Rode et moi. Et petit à petit, il y avait plus de gens. »
« J’ai l’impression que cela rentre plus dans la conscience publique, dans les écoles, que c’est moins rare, moins quelque chose de particulier et plus une autre technique pour faciliter la pensée, pour communiquer, pour collaborer. Plus c’est normal, mieux c’est à mon avis.»
« Les outils digitaux de développent, l’ipad existe depuis longtemps maintenant. La prochaine question c’est l’IA et comment on peut travailler avec. »
« J’utilise beaucoup l’IA pour m’aider dans l’écriture, le brainstorming, les idées, pour des sommaires de textes. »
« (Je crois que pour le visuel, (l’IA) c’est très bien pour le « photo-realistic » et pour les illustrations très élaborées. Pour les visuels, la pensée visuelle, faire des diagrammes, des structures visuelles, j’ai déjà essayé mais je crois qu’il y a encore du développement à faire. »
« Pour l’instant, je crois que l’intelligence humaine est encore très valable pour la pensée visuelle. Et aussi pour le faire pour toi-même. Ce n’est pas toujours le produit qui est le plus important mais le processus. Et ce qui se passe dans ta tête et dans la tête de tes collaborateurs pendant que tu utilises ces outils.»
« « Je ne sais pas dessiner, c’est pour cela que je ne peux pas commencer » : ce n’est pas vrai ! »
On peut juste commencer par changer la forme d’écriture. Au lieu d’écrire ligne par ligne on peut commencer par écrire dans un petit bloc une idée et les distribuer sur la page. Les idées qui sont liées plus proche. … Juste changer l’écriture et poser les mots dans l’espace, c’est le premier pas pour la pensée visuelle. Comme on le fait avec des post-its dans un brainstorming.»
« Je crois en ce moment qu’il y a une phase basse en général, je ne sais pas si cela est vrai en France mais en Allemagne, il est plus difficile de vendre des cours, d’organiser des conférences. En ce moment, cela coule un peu plus lentement mais bon c’est la vie, c’est le rythme. »
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Philippe BOUKOBZA, Charlotte VELLY, Aÿa HELENE, Eric SIMON et de nombreuses surprises !
Dans cet épisode, vous allez entendre la seconde partie de l'émission qui a été enregistré en direct le vendredi 23 mai 2025.
On y parle :
Place de l’IA et de la Pensée visuelle avec Philippe BOUKOBZA
Exploration de l’univers de la facilitation graphique par Aÿa HELENE
retour de Karine DETRANCHANT, Julie BOIVEAU, Jean-Philippe LECREUX et Hélène PLASSOUX
Belle écoute,
La suite de l'anniversaire la semaine prochaine !
Eric
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Philippe BOUKOBZA, Charlotte VELLY, Aÿa HELENE, Eric SIMON et de nombreuses surprises !
Dans cet épisode, vous allez entendre la première partie de l'émission qui a été enregistré en direct le vendredi 23 mai 2025.
On y parle :
Belle écoute,
La suite de l'anniversaire la semaine prochaine !
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Magali ROZO
Professeur de Français pendant 17 ans, Magali ROZO a toujours eu le souci d'allumer une étincelle chez ses élèves, de rendre les savoirs, la culture, la réflexion accessibles, de travailler les compétences psychosociales. Chaque année, de nouveaux cours, de nouveaux projets avec des artistes, des acteurs de la prévention.
Puis Magali a démissionné pour devenir Psychopédagogue il y a presque 8 ans.
Elle a découvert le sketchnoting pendant sa formation. Une révélation!
Au fur et à mesure, Magali s’est formée à la facilitation graphique. Elle oriente de plus en plus son travail à destination des entreprises et des collectivités avec l'objectif de "Gagner en efficacité tout en prenant soin de soi"
De belles surprises dans son parcours, notamment celui de devenir championne de lecture rapide en 2018. Et l'aventure continue puisque avec son voisin de championnat, Xavier Delengaigne, ils viennent de sortir un livre en collaboration avec Anne-Claire Prévost sur la ludopédagogie dans la Petite Boîte à Outils de chez Dunod.
Lien du livre sur la ludopédagogie
Quelques extraits de l’épisode :
« (Face à la multitude de mes activités ) Julie Andlauer, Facilitatrice graphique à La Réunion, m’a simplifie les choses. « Ce que tu fais c’est comme une maison, dans chaque pièce tu as un accompagnement. » »
« Je travaille davantage sur tablette aujourd’hui car je trouve que cela est plus confortable pour faire des retouches. »
« Je pratique peu le scribbing, j’aime bien être dans ma bulle créative plutôt chez moi. Avoir le temps de réflexion et de poser les choses.»
« L’illustration et le sketchnote permet de mettre du moelleux dans les relations.(citation du site) … le dessin permet de parler à chacun de s’adapter, de parler de sujets assez complexes, assez durs, comme le harcèlement. Le dessin amène à prendre du recul mais il y a aussi des outils derrière, je suis formé aussi au sens de la répartie. »
« Montrer par le visuel qu’on peut redonner une sorte de pouvoir d’actions. »
« Souvent les personnes qui aiment excel, la facilitation graphique cela leur parlera moins. »
« Etienne (APPERT) est incroyable en formation, il nous fait rentrer dans son univers. Il travaille beaucoup sur l’expression du trait en noir et blanc.»
« J’utilise le dessin en coaching quand je sens qu’il y a une belle métaphore. » « Le fait de partir d’une métaphore visuelle, la personne a pu trouver de nouvelles solutions qu’elle n’avait pas imaginé. »
Un conseil ? « Avoir une pratique régulière mais non contrainte. C’est à dire trouver quelle peut être la bonne méthode, un bullet journal par exemple, ou alors sketchnoter des Tedx avec des thèmes qui nous parlent, qu’il n’y ait pas d’enjeux au départ, que ce soit du Sketchnoting plaisir. » « Et faire en fonction du cadre professionnel (…) Quand on sketchnote en réunion, les gens sont curieux et viennent voir et cela peut être un point de départ. »
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1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.
Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.
Aujourd'hui, Il répond à une question récurrente reçue par de nombreux auditeurs.
"C'est quoi la Pensée visuelle ?"
Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?
C'est par ici que cela se passe ...
Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcast
Diffusion chaque samedi
avec en alternance:
Si ce podcast vous a plus, n'hésitez pas à laisser un commentaire sur les plateformes et à le partager au sein de vos réseaux.
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Gwenaël MASSON
Formateur sur la communication bienveillante, le management et des formation de formateur depuis plus de 13 ans et également médiateur, Gwenaël MASSON intègre de plus en plus la pensée visuelle dans sa pratique professionnelle, à son rythme, pas à pas, de façon très humaine, joyeuse et ludique !
J’ai eu l’occasion de faire connaissance avec Gwenaël MASSON lors de webinaire que j’anime autour du livret pliable et sa réactivité dans l’appropriation judicieuse de cet outil m’a donné envie de lui tendre le micro dans cet épisode.
Saint Renan près de Brest.
Son site
« Ma plus grande satisfaction au module 2, c’était de les voir utiliser (Le livret pliable) « « Avant, cela m’arrivait de fournir des feuilles A4 mais peu les utilisait. » « Là, avec le petit guide, le fait d’avoir quelques dessins, une synthèse du processus et les mots du vocabulaire. Tout de suite, ils s’y réfèrent. Il y a quelque chose de simple. Ils le prennent dans leurs poches, ils le déplient. »
« Aujourd’hui, ces posters, je les fais en temps réel sur paper board . J’ai ma structure dans la tête, la structure reste toujours la même mais de temps en temps les mots sont un peu différents. … Au moment du débriefing, je viens ajouter leurs mots et les miens en plus. »
« La structure je l’ai en tête mais ils me voient le construire avec mes mots et les leurs. Et je crois que c’est cela aussi le fait qu’ils s’approprient énormément le support. »
« En me voyant faire, ils sont attentifs, et il y a déjà un processus cognitif lié à la curiosité de qu’est-ce que cela va donner. Il y a donc déjà un début de réflexion, et une réflexion en lien avec ce qu’on s’est dit, ce que l’on se dit. La réflexion est orientée mais avec une curiosité. Et çà les aide vraiment à les mettre dans l’action intérieure de réfléchir. »
« C’est la force du formateur, quand on connait notre contenu, finalement quand on a acquis quelques éléments de pensée visuelle, cela peut aller très vite pour structurer un poster. »
« Je crois qu’il y a un effet POP dans le cerveau. On parle, il y a des échanges, et puis au fur et à mesure, en mettant des mots, du visuel, tout d’un coup, il y a le processus qui prend sens dans le cerveau de beaucoup d’apprenants. Est-ce que cela a un effet sur tous ? Je ne suis pas sûr. Je pense que certains sont plus linéaires et ont besoin de plus de structure. »
« Je ne l’ai pas encore utilisé en médiation mais je suis convaincu que (le visuel) peut aider à mettre en lumière des zones blanches, peut être des non-dits, peut-être des incompréhensions… On n’’est plus dans le seul canal auditif, on va rendre les choses visuelles et cela les rend matérielles. »
« (Un conseil ?), d’apprendre à faire des personnages simples avec Virginie Léone et d’essayer d’illustrer des mots importants pour eux, qui parlent de leur entreprise, de leurs thèmes, d’essayer de se les approprier, de les faire pas à pas. »
« Un personnage transmet des émotions, il donne vie. Même si on ne sait pas faire des pictos, ne serait qu’un petit personnage dans un paper-board, cela égaie de suite (le support). Ce n’est pas grand-chose mais c’est un p’tit plus »
« Ma mascotte représente qui je suis, cela apporte une touche humaine même si ce n’est qu’un dessin. »
« Pour moi, l’inspiration est autour de nous. »
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Dans cet épisode je vous partager un truc que j'ai testé autour de l'univers de la Pensée visuelle.
Un des aspects de mon métier de facilitation graphique qui me passionne le plus, c'est la capture en direct lors d'un world café.
Un collectif en discussion face à une fresque blanche qui se nourrit au fil des échanges dans le cadre d'une synthèse d'un world café.
Dans cet épisode, je vous partage une innovation testée cette année auprès d'un collectif de 80 personnes: associer un conteur dans la partie finale.
Je donne la parole à Jeanne DOBRIANSKY, facilitatrice et François DEBAS, conteur.
Envie d'en savoir plus ?
N'hésitez pas à me contacter !
Eric SIMON
Facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle
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Virginie GRAUX
Institutrice primaire en Belgique et référente dans le pôle Inclusion du territoire de Charleroi.
Ses pages
« Le vendredi après-midi est devenu un temps d’initiation au skecthnoting et les élèves ont adoré ! »
« Cela m’a permis d’avoir un réel plaisir (en classe) et de partager ce plaisir avec eux. »
« Avec les outils de la pensée visuelle, ce qui est génial, c’est que tu touches tous les profils. »
« Certains enfants ont retrouvé un accès à l’information ce qui leur a permis, à la maison, de montrer cela. »
« En réunion de parents, j’explique l’intérêt de ces outils-là et je leur montre les effets par rapport à la mémorisation »
« Au départ, mes collègues se sont demandés ce que je faisais. »
« En créant un support de présentation pour mes collègues, j’ai pu les contaminer tout doucement. »
« C’est une manière de synthétiser qui est tellement forte, je trouve, pour mémoriser, qu’on ne peut pas passer à côté. Tu es dans la réflexion, tu dois comprendre, tu dois synthétiser, réfléchir, aller chercher une image, une idée clé, principale, c’est hyper riche quand tu penses à toute la démarche mentale qu’il y a derrière. »
« Au départ, je travaille sur les évocations, sur ce qui se passe dans la tête, (…) et ensuite de les mettre sur papier. Je les accompagne, je le fais avec eux. On pourrait parler d’enseignement explicite. Je vais mettre le haut-parleur sur ma pensée. (…) cela doit toujours être une représentation qui vient d’eux. »
« L’objectif c’est de ne pas les enfermer dans un seul outil. C’est de leur montrer différentes façons de faire et qu’ils s’approprient l’outil qui leur convient le mieux.»
« Souvent, on partout de synthèse linéaire, de texte brut, L’intérêt, quand on a écrit cette théorie, c’est d’aller y mettre de la couleur, de synthétiser l’information, d’aller la présenter autrement, et là il y a vraiment un travail de compréhension, de voir si l’info est claie. Là tu donnes, pour moi, des outils différents. » « Quand ils seront plus grands, ils vont peut-être pouvoir mieux adapter »
« Quand tu reprends en global cette synthèse visuelle, c’est beaucoup plus facile pour retrouver l’information, c’est tout de suite, ton œil est attiré par ce picto, et tu te souviens, cette info je l’avais mise là. Dans un texte, il y a tellement d’éléments, que c’est pas toujours évident de récupérer l’info. »
« En Belgique, la carte mentale, elle est connue, mais pour le reste, je trouve que c’est plus compliqué. »
« Les neurosciences viennent appuyer sur ce double codage, cette importance d’allier le mode verbal avec le mode visuel ; Alors si tu amènes en plus du kinesthésique, alors-là, c’est tout bénef. Je pense qu’on est en pleine mouvance, tout est en train d’évoluer mais à son rythme. »
« Je ne suis ni pour, ni contre l’IA. Pour moi, la créativité restera toujours humaine malgré tout. Quand tu demandes quelque chose à l’IA, il faut être assez bon sur ce que tu demandes. »
« (un conseil pour ce qui veulent s’initier) Ne pas se lancer tête baissée, se former un minimum. … et puis il y a plein de choses que je fais intuitivement mais de se demander, est-ce que je le fais au bon moment et suffisamment ? »
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1 semaine sur 2, Eric SIMON, facilitateur graphique et formateur en pensée visuelle depuis plus de 15 ans, répond à vos questions.
Un format court qui donne quelques éclairages et éléments de réponse.
Aujourd'hui, Il répond aux questions de Pierre à Mascron en Belgique.
"Quelle est la posture pour écouter et retranscrire une conférence en scribing Live ?"
Vous avez envie de poser vos questions afin d'obtenir des réponses dans un prochain épisode ?
C'est par ici que cela se passe ...
Plus d'informations sur www.esimon-visuel.com/podcast
Diffusion chaque samedi
avec en alternance:
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Florian LEMERCIER
Animateur de radio
La Pensée visuelle au service de sa dyslexie
Son site
« La pensée visuelle, c’est quelque chose qui m’a toujours aidé pour pouvoir, comprendre, concevoir, réfléchir d’une manière complètement différente. »
« Moi cela m’aide d’avoir quelque chose de physique, de presque palpable pour avancer dans différents projets. »
« Ma dyslexie a commencé à être diagnostic, traitée dès la CP »
« IL y a quelque chose qui m’a marqué, motivé et qui est toujours mon moteur aujourd’hui : un jour, une professeur m’a dit : « tu ne seras jamais lire, écrire, dessiner, tu ne feras rien jamais rien de ta vie » Alors quand on entend cela et qu’on est enfant, forcément ça marque ! Finalement, c’est devenu mon pilier, mon moteur, de prouver aux autres que je peux travailler différemment et que je peux utiliser mes propres outils pour m’en sortir»
« Et petit à petit, à force de travail, parce qu’un dyslexique finalement, son cerveau travaille tout le temps, il est tout le temps en action, on arrive à corriger, à gommer cela et peit à petit je me sus mis à dessiner, à faire des choses visuelles et finalement c’était cela qui me parlait moi, plus que les textes très longs qui sont très fatigants pour moi »
« (A la radio), je créé mes propres textes mais j’ai une façon particulière d’écrire par rapport aux autres journalistes … je mets pleins de petites choses visuelles qui vont m’aider. »
« Quand je fais des interviews, je laisse toujours de l’espace blanc sur la feuille et pendant que je parlais au monsieur, je faisais un petit dessin-croquis pour me dire qu’il faut que j’aille plutôt là-dessus que sur la question préparée en amont. »
« Pour travailler ensemble, (à l’école de la radio) on était obligé d’avoir des choses très visuelles, à la limite sans se parler, pour qu’on puisse se comprendre, on utilisait beaucoup les murs pour se délivrer des codes entre nous. »
« J’avais très peu de temps pour préparer l’interview, dans 2 minutes, il fallait que je rentre dans la pièce, j’ai été obligé de prendre une feuille, je faisais pleins de dessins, de pictogrammes, pour me faire un profil de cet individu (artiste que je ne connaissais pas)… Après l’interview, le gars était super content « vous m’avez posé des questions qu’on ne me pose jamais. On n’a peu faire un interview de ce qu’il fait d’habitude. »
« J’ai remarqué que mon papa, lorsqu’il est au téléphone, il est tout le temps en train de se faire des dessins des annotations sur ce qu’il fait, ce qu’il dit ou ce qu’il doit faire après. Je le vois tout le temps en train de faire des choses illisibles, incompréhensible pour moi s’il ne m’explique pas mais pour lui cela a vraiment un sens, quelque chose où il peut se repérer dans l’espace et dans le temps de ce qu’il veut faire. »
« Comprendre un logiciel qui peut paraître pour beaucoup très compliqué mais qui en fait, vu comment il est agencé visuellement, pour nous, c’est comme si on l’avait presque créé. »
« (Pour préparer mon livre), j’ai pris un pan de mur de ma maison, j’ai utilisé pleins de post-it, je me suis fait un mapping de ce que je voulais mettre, les éléments importants, pas importants, j’ai fait un gros tri là-dessus…. Le fait de le faire face à un mur, tu as du recul, tu as de l’espace. »
« J’ai à cœur de continuer à porter les valeurs de l’inclusion, à pouvoir réaliser ses rêves
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Hélène POUILLE
Basée à Nantes, Hélène POUILLE s’est lancée dans la facilitation graphique il y a plus de 10 ans, une fois en poche son diplôme d’ingénieur en management.
Hélène a fait évolué sa pratique dans différents supports allant de la fresque papier à la tablette. Elle met ses compétences graphiques, au service de différentes causes citoyennes, au fil de ses envies.
Ses sites :
« Pour moi c’est comme si je faisais toujours mes fiches de révision, maintenant, c’est mon métier et je le fais pour d’autres personnes. »
« J’aime beaucoup jouer avec les fonds colorés, je n’aime pas trop le vide, le blanc de manière générale »
« Quand j’étais étudiante, j’écrivais sur un petit carnet et je ne voulais pas qu’on regarde au-dessus de mon épaule. Ensuite il y a eu un glissement, où j’ai fait des fresques avec de grands formats. Je pense que je l’ai fait à ce moment-là car c’était attendu, souhaité et souhaitable à ce moment-là. … ensuite j’ai essayé d’orienter vers le carton plume, le carton mousse et j’ai acheté un jour en 2018 une tablette numérique. … le numérique, c’est pratique pour le transport, pour reprendre des couleurs, le modifier. Aujourd’hui, je travaille beaucoup plus en numérique et c’est plus anecdotique quand je travailler en papier, en carton plume. »
« Pour progresser dans notre pratique, on a besoin de prendre du plaisir et parfois aussi de se nourrir sur le plan personnel. Et j’ai aussi envie de plus lire. J’ai lancé un blog j’ailuça et de reprendre en un visuel, un livre. »
« J’essaie d’amener les choses avec un peu de douceur, en tous les cas, j’essaie, mais j’essaie d’allier conviction et douceur, et de faire que le discours soit entendable, de trouver le juste ton, ce qui n’est pas facile en plus de l’aspect visuel. »
« Selon les réseaux sociaux, les comportements des personnes sont parfois très différents. »
« Le fait de faire des tabous autour de certaines choses, cela peut conditionner l’image qu’on a des choses … Le milieu de la santé est un milieu assez austère dans sa communication. Qu’est-ce que j’aurai aimé avoir comme éléments de communication ? Comment j’aurai aimé qu’on me le dise ? »
« Nous aussi, on a envie d’avoir un séminaire de rentrée, même si on est toute indépendantes … un festival orienté pour des professionnels de la facilitation graphique ou de la pensée visuelle»
« Dans notre consommation de la production visuelle et graphique, on apprécie l’esthétique … cela fait partie de l’équation. »
« Je ne cloisonnerait pas le métier et le personnel. Je pense que justement, on y va si on envie d’y aller et pour différentes manières. … Pour moi c’est de trouver ce qui nous est propre et qui donne du plaisir ou, au final, quel que soient les résultats, que cela fonctionne ou pas aux yeux des autres, qu’on est envie de continuer dans la pratique. »
« J’ai cette pratique régulière je prends du plaisir, je ne me dis pas, il faut que je le fasse c’est une habitude. … Prendre du plaisir, c’est un bon moyen de progresser !»
« Comment les formats peuvent se répondre ? … imaginer toutes les configurations de formats et de réfléchir aux usages des personnes à qui cela est adressé. »
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Tiphaine BOSDEVEIX
Conseillère en organisation avec un ADN d’innovation, facilitatrice graphique depuis plus de 15 ans et dessinatrice de l’UNvisible, Tiphaine Bosdeveix utilise le visuel pour mettre en miroir ce qu’elle entend, perçoit de l’autre, au delà du visible. Sa pratique originale (massage dessiné, exploration artistique…) permet de restituer à l’UN (et aux autres quand il s’agit d’un groupe) la résonance de l’invisible, des maux et mots du corps.
Après avoir développé la rigueur cartésienne répondant à l’adage « je ne crois que ce que je vois » et avoir utilisé un sketchnote plus classique, plus textuel, Tiphaine explore l’autre polarité « on ne voit bien qu’avec le cœur, l’essentiel est invisible pour les yeux» au travers d’un dessin symbolique, qui offre des outils de compréhension et de conscience de soi.
Aujourd'hui, facilitatrice graphique dans la fonction publique et naturopathe, en indépendante, avec une proposition originale de massage dessinée.
Au fil des années, Tiphaine a su combiner ces différentes capacités de façon très originale et fluide. Elle exploite la résonance, les intuitions pour proposer un miroir visuel dans des contextes très divers.
Venez découvrir la force du massage dessiné !
Son compte Instagram : @tiphainebosdeveix
« J’ai combiné cette capacité, comme tous les facilitateurs graphiques, à synthétiser, à donner un miroir visuel à l’autre avec mon intention mon ressenti, pour pouvoir, après avoir massé une personne, faire un retour visuel de ce qu’il s’est passé. »
« Quand je masse une personne, il y a un effet de résonnance sur les douleurs de l’autre, sur les blocages, il y a des résonances en termes de sensations, de mots ou d’images »
« Cela permet la production d’un dessin vraiment symbolique » Cela parle bcp à la personne qui a été massée. (…) cela ne laisse jamais indifférent »
« Cet invisible, le corps le sait, il le manifeste de différentes manières, soit par des manifestations purement physique, soit par des manifestations plus subtiles »
« Il s’agit lors de l’entretien de partager des ressentis, des symboliques pour voir si cela fait sens pour la personne. »
« En facilitation graphique, il y a aussi une résonnance de l’énergie des autres dans nos dessins… J’avais déjà cette pratique, mes propres ressentis dans mes pris de note plus classiques. Ensuite j’ai suivi un cursus de formation en Naturopathie, …avec des apprentissages autour des massages qui font partie des pratiques naturopathiques et lors de la prise de notes, elle s’est fait derrière en images pour moi et naturellement, elle a pris une place de plus en plus symbolique autour du ressenti, des intuitions en plus des éléments physiques»
« Ma formation en psychopédagogie m’a permis de comprendre pourquoi j’avais autant besoin de cet outil de miroir visuel. .. j’ai compris sur le tard comment je fonctionnai et pourquoi j’avais tant besoin de ma reformulation visuelle. »
Les points communs entre la facilitation graphique et les massages dessinés ? « la présence qui est très forte quand on facilite graphiquement, quand on réalise un soin pour l’autre, sa connexion à son intuition aussi … de lâcher prise… de faire confiance à son intuition. »
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