https://www.ia-info.fr/chatgpt-au-pentagone-quand-l-ia-devient-major-generale.html

Que la technologie prenne une part croissante dans les décisions militaires n’est pas une surprise, mais admettre ouvertement qu’un général américain s’appuie sur ChatGPT, ce chatbot développé pour répondre à vos questions existentielles sur la recette du gâteau au chocolat, pour guider ses choix stratégiques est une autre affaire. William « Hank » Taylor, commandant de la 8e armée en Corée du Sud, n’y va pas par quatre chemins: « ChatGPT et moi, nous sommes très proches en ce moment », a-t-il confié, sans préciser si cette proximité implique des cafés virtuels ou des longues discussions nocturnes sur l’avenir du monde.

https://www.ia-info.fr/chez-nous-teams-c-est-fini-un-lande-allemand-pionnier-de-la-rupture-avec-microsoft.html

Le Land allemand du Schleswig-Holstein, région située au nord du pays, frontalière avec le Danemark, a récemment annoncé une décision majeure de rupture avec les solutions logicielles de Microsoft, notamment la plateforme Teams. Cette décision, attendue dans les trois prochains mois, marque une transition importante pour les fonctionnaires et agents publics de cette région qui abandonneront progressivement l’écosystème Microsoft au profit de solutions open source. Plus qu’un simple choix technologique, cette démarche s’inscrit dans une volonté politique de souveraineté numérique, de contrôle renforcé des données publiques, et d’économies substantielle sur les coûts liés aux licences logicielles.

https://www.ia-info.fr/vendredi-7-novembre-2025-ce-qu-il-faut-retenir-sur-l-intelligence-artificielle.html

En bref : Cette journée met en avant la diversité des usages, le dialogue multi-acteurs et la montée en compétences, dans la droite ligne de la structuration de l’actualité AI observée dans votre document.

https://www.ia-info.fr/linkedin-lance-son-service-d-aspiration-de-donnees.html

Au fil des années, la plateforme, qui se veut le marché de l’emploi le plus professionnel au monde, s’est révélée être aussi un terrain de chasse de données passionnant, et là où le bon sens aurait dû s’arrêter, une véritable course à la collecte effrénée semble avoir commencé, sous prétexte de progrès technologique et de fascination pour l’IA. La dernière étape en date, et non des moindres, consiste à utiliser les profils, les posts, les commentaires, sans même réellement faire semblant de respecter la législation européenne, notamment le RGPD, qui impose pourtant un consentement clair et explicite pour exploiter ces données.

https://www.ia-info.fr/etats-unis-le-gouvernement-envisage-d-interdise-les-routeurs-tp-link.html

Le portail site ia-info.fr est un portail d'informations spécialisé dans l'intelligence artificielle (IA) et l'IA générative, offrant des mises à jour, analyses approfondies et perspectives d'experts sur le sujet. La rubrique "De l'Autre Côté de l'IA" du site explore la progression de l'IA dans l'économie et la société Américaine.

Cet article aborde les préoccupations de sécurité nationale aux États-Unis concernant les routeurs TP-Link. Le gouvernement américain envisage d'interdire la vente de ces équipements réseau, craignant qu'ils ne soient utilisés pour l'espionnage en raison des liens présumés de l'entreprise d'origine chinoise avec le gouvernement de Pékin. Les autorités s'inquiètent notamment de la possibilité d'insérer des logiciels malveillants via des mises à jour à distance. Bien que TP-Link réfute ces allégations et propose des solutions pour se conformer aux normes de sécurité, une interdiction aurait des conséquences importantes pour des millions d'utilisateurs et refléterait les tensions géopolitiques croissantes entre les deux nations dans le secteur technologique.

Le gouvernement des États-Unis envisage sérieusement d’interdire la vente des routeurs domestiques de la marque TP-Link, un acteur majeur dans le domaine des équipements réseau pour foyers et petites entreprises. Cette démarche émane de plusieurs agences fédérales, qui expriment des préoccupations liées à la sécurité nationale. Elles estiment que ces appareils, bien que largement utilisés aux États-Unis, pourraient constituer un risque en raison de liens présumés entre TP-Link et le gouvernement chinois.

https://www.ia-info.fr/microsoft-teams-et-la-surveillance-au-travail.html

Microsoft Teams, l’outil de communication et de collaboration d’entreprise devenu incontournable, est au cœur d’une nouvelle controverse qui soulève des questions fondamentales sur la vie privée au travail et la frontière entre surveillance légitime et intrusion excessive. À compter de décembre 2025, une mise à jour majeure introduira dans Teams une fonctionnalité inédite qui permettra à votre employeur de savoir si vous êtes physiquement présent au bureau ou non, en se basant sur la connexion au réseau Wi-Fi de l’entreprise. Cette nouveauté, baptisée « Work Location Detection », a été conçue pour répondre aux défis posés par les modes de travail hybrides, mais elle suscite déjà une vive inquiétude parmi les salariés et les spécialistes des libertés individuelles.

https://www.ia-info.fr/jeudi-6-novembre-2025-ce-qu-il-faut-retenir-sur-l-intelligence-artificielle.html

En bref : Ce 6 novembre 2025 s’inscrit dans la dynamique d’un automne décisif : intensification des événements, transformation des pratiques en matière de données, montée de la régulation et structurante rivalité États-Unis/Chine, le tout sur fond d’innovations technologiques portées par les grands acteurs et la French Tech.

https://www.ia-info.fr/zuckerberg-et-ses-lunettes-ia-quand-la-realite-augmentee-tourne-a-la-realite-deprimee.html

Dans le monde doré et impitoyable des grandes technologies, les géants se livrent à une course effrénée pour inventer le futur, le repousser, le redéfinir. Mais parfois, cette course tourne à la scène de théâtre autant qu’au vaudeville technique. Et ce mercredi 17 septembre 2025 restera gravé, non pas pour l’annonce d’une innovation révolutionnaire digne de science-fiction, mais pour un remarquable spectacle d’humour involontaire : Mark Zuckerberg, patron de Meta, la maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, s’est retrouvé au cœur d’un embarras technologique en direct, avec en vedette ses toutes nouvelles lunettes connectées boostées à l’intelligence artificielle.

https://www.ia-info.fr/l-intelligence-artificielle-catalyseur-de-la-transformation-du-conseil.html

L’intelligence artificielle (IA) est souvent perçue comme une force disruptive, capable de remplacer des métiers entiers. Parmi les secteurs jugés vulnérables à cette révolution numérique, celui du conseil en entreprises suscite un débat intense. Pourtant, loin de simplement éliminer les consultants, l’IA transforme profondément leurs rôles, leurs méthodes et le modèle même de cette profession traditionnelle, imposant une adaptation rapide et radicale. Contrairement à l’idée d’un remplacement pur et simple, l’IA réinvente le conseil en amplifiant la valeur humaine au cœur du métier : la capacité à synthétiser des informations complexes, à prendre des décisions stratégiques éclairées et à accompagner le changement dans des contextes organisationnels de plus en plus complexes.

https://www.ia-info.fr/mercredi-5-novembre-2025-ce-qu-il-faut-retenir-sur-l-intelligence-artificielle.html

En bref : Ce 5 novembre 2025 marque une journée très dense pour la communauté IA, principalement à Paris, avec la poursuite des débats sur la responsabilité, la transition écologique et la souveraineté numérique qui structurent l’agenda européen et international.

https://www.ia-info.fr/metavers-quand-meta-invente-la-solitude-conversationnelle.html

Meta veut visiblement peupler le métavers avec des IA parlantes : enfin une bonne raison de s’y perdre sans craindre le silence assourdissant d’un monde virtuel déserté par l’humanité, faute d’intérêt… ou d’amis, il faudra choisir. Cette lumineuse vision d’un avenir où, faute de chair et d’os, ce seront des intelligences artificielles qui tiendront le crachoir en lieu et place des utilisateurs réels mérite mieux que les sempiternels discours enchanteresse sur le progrès, surtout dans un contexte où Mark Zuckerberg, tel un capitaine seul sur le Titanic numérique, s’entête à vouloir transformer le métavers en eldorado social, quitte à repeupler la salle de bal avec des mannequins animés par GPT et compagnie.

https://www.ia-info.fr/l-usage-contreverse-de-l-ia-dans-la-justice-federale-americaine.html

Le portail site ia-info.fr est un portail d'informations spécialisé dans l'intelligence artificielle (IA) et l'IA générative, offrant des mises à jour, analyses approfondies et perspectives d'experts sur le sujet. La rubrique "De l'Autre Côté de l'IA" du site explore la progression de l'IA dans l'économie et la société Américaine.

L'article se concentre sur l'utilisation controversée de l'IA générative dans le système judiciaire fédéral américain, soulignant les limites de cette technologie. Plus précisément, il détaille comment deux magistrats fédéraux ont admis avoir inclus de graves erreurs factuelles et des citations fictives dans leurs ordonnances judiciaires, des problèmes directement liés à l'assistance d'outils comme ChatGPT. Cette révélation a engendré une onde de choc et forcé le Sénat à exiger des directives claires pour encadrer l'usage de l'IA par les juges, mettant en lumière un vide normatif dans les tribunaux.

L’évolution fulgurante de l’intelligence artificielle (IA) a récemment touché une sphère jusqu’ici protégée par la rigueur et la prudence humaines : la justice fédérale américaine. Fin octobre 2025, deux magistrats fédéraux ont reconnu publiquement avoir laissé se glisser dans leurs ordonnances judiciaires des erreurs factuelles graves, directement imputables à l’utilisation de dispositifs d’intelligence artificielle générative. Cette révélation a servi d’alerte majeure sur les risques liés au déploiement non encadré de l’IA dans le processus décisionnel judiciaire et a provoqué une onde de choc au sein du Sénat américain, donnant lieu à des interrogations profondes mais nécessaires quant à l’intégration de ces technologies dans un domaine aussi sensible.

https://www.ia-info.fr/piratage-de-prompt-la-menace-cachee-derriere-l-essor-de-l-ia.html

Le piratage de prompts, ou injection de prompts, est aujourd’hui considéré comme une véritable boîte de Pandore pour les entreprises qui utilisent l’intelligence artificielle générative dans leurs processus. Ce phénomène, qui a pris une ampleur critique en 2025, représente une menace complexe et insidieuse, comparable en gravité aux attaques par injection SQL qui avaient secoué le monde de la cybersécurité au début des années 2000. Pourtant, contrairement à ces dernières, le piratage de prompts ne s’appuie pas sur une faille technique classique, mais il exploite la manière dont les grands modèles de langage interprètent les instructions des utilisateurs. Cette singularité rend la menace difficile à détecter et à contrer.

https://www.ia-info.fr/mardi-4-novembre-2025-ce-qu-il-faut-retenir-sur-l-intelligence-artificielle.html

En bref : Cette journée se distingue par la richesse de ses rencontres scientifiques, débats publics et ateliers, la plupart ouverts à un large public et avec un accent fort sur l’IA responsable, l’éthique et l’innovation durable. Aucune annonce “coup de tonnerre”, mais une forte densité d’échanges sur les perspectives sociétales, industrielles et environnementales de l’IA.

https://www.ia-info.fr/ministre-2-0-quand-l-albanie-confie-la-corruption-a-l-ia.html

L’Albanie, patrie des bunkers et désormais des bugs, vient d’inaugurer un nouveau genre de ministre : Diella, la première « tête » pensante 100% intelligence artificielle. Oubliez l’époque où il fallait cacher les magouilles sous le tapis rouge du Parlement, car voici venu le temps du gouvernement sans cerveau, mais avec serveur. L’argument officiel ? Chasser la corruption ! L’ironie, c’est qu’on pensait plutôt que l’IA irait chasser le stagiaire, mais bon, la surprise fait aussi partie de la transformation numérique version balkanique.

https://www.ia-info.fr/russie-2025-l-avenement-du-goulag-numerique.html

Cet article d'ia-info.fr décrit comment la Russie intensifie son contrôle numérique sur sa population, utilisant des technologies comme la reconnaissance faciale, la surveillance des communications et des applications de géolocalisation obligatoires pour les migrants, dans un contexte de tensions post-invasion de l'Ukraine. Le texte utilise l'expression de « goulag numérique » pour souligner l'oppression et la censure exercées par l'État via des dispositifs sophistiqués comme le système SORM et la stratégie « d'internet souverain ».

Depuis plusieurs années, la Russie intensifie sa politique de contrôle numérique sur sa population, avec pour objectif de façonner un système de surveillance étatique d’une ampleur inédite. Cette dynamique s’inscrit dans un contexte global marqué par la tension politique, militaire, et technologique, où la Russie cherche à affirmer sa souveraineté numérique tout en restreignant l’expression libre et dissidente. De la multiplication des caméras de surveillance aux applications à usage obligatoire pour les migrants, en passant par la régulation draconienne de l’accès à Internet, le pays déploie un arsenal numérique qui tend à transformer son espace public en un véritable « goulag numérique ».

3 Novembre 2025 - Ce qu'il faut retenir sur l'Intelligence Artificielle...

https://www.ia-info.fr/lundi-3-novembre-2025-ce-qu-il-faut-retenir-sur-l-intelligence-artificielle.html

En bref : Ce lundi 3 novembre marque une date charnière : évolution des pratiques sur les données personnelles, multiplication des événements et conférences sur l’IA, rivalités technologiques et dynamiques d’innovation en France et dans le monde.

https://www.ia-info.fr/survivre-en-2025-un-clic-droit-sur-excel-ou-deux-neurines-dans-l-ia.html

Maîtriser Excel en 2025, c’est un peu comme être l’inventeur du feu à l’ère de la fusion nucléaire : tout le monde se moque, jusqu’au jour où il faut allumer le barbecue. Voilà la réalité ironique, et, disons-le franchement, délicieusement absurde, qui s’impose à qui ose plonger dans les dessous du marché de l’emploi technologique actuel. Alors que les grands prêtres de la Silicon Valley psalmodient chaque semaine la promesse d’un avenir de travail dopé à l’intelligence artificielle, la compétence la plus citée dans les offres d’emploi n’a rien à voir avec les réseaux neuronaux, mais tout avec ce fichu bon vieux Excel, le tableur de vos cauchemars universitaires comme de vos réunions les plus soporifiques.

https://www.ia-info.fr/quand-l-intelligence-artificielle-boulverse-l-emploi.html

Le portail site ia-info.fr est un portail d'informations spécialisé dans l'intelligence artificielle (IA) et l'IA générative, offrant des mises à jour, analyses approfondies et perspectives d'experts sur le sujet. La rubrique "De l'Autre Côté de l'IA" du site explore la progression de l'IA dans l'économie et la société Américaine.

Les bouleversements récents chez Amazon et Walmart ne sont pas qu’une simple évolution technologique ou économique : ils marquent un tournant social majeur qui met à rude épreuve le modèle de travail américain et, plus largement, les classes populaires. Alors que ces deux mastodontes de la distribution, employeurs de millions de personnes, ajustent leurs effectifs sous l’effet conjugué de l’intelligence artificielle et de la pression financière, c’est la face visible d’une transformation profonde des relations au travail qui émerge, avec ses promesses mais surtout ses incertitudes et ses risques.

Pendant plusieurs décennies, ces entreprises ont incarné l’idée que le travail pouvait être une voie d’ascension sociale, en offrant un emploi stable, même peu qualifié, à des millions d’Américains. Amazon et Walmart ont ainsi permis à une large frange de la population, souvent aux revenus modestes, de bénéficier d’un salaire régulier et d’une certaine sécurité économique. Cette fonction sociale de “pourvoyeur d’emplois” restait un pilier essentiel dans une économie américaine souvent inégalitaire. Pourtant, aujourd’hui, ce modèle vacille.
Les annonces récentes de suppression de postes au sein des sièges sociaux d’Amazon, les gels d’embauche et les plans de transformation chez Walmart ne sauraient être considérés uniquement sous l’angle des stratégies managériales visant à optimiser les coûts. Derrière ces décisions se profile une remise en cause de la nature même du travail dans l’économie numérique. L’intelligence artificielle, présentée par les dirigeants comme une alliée de l’efficacité et de la croissance, apparaît aussi comme un facteur de déséquilibre pour les employés dont les fonctions sont automatisables. Cette transition soulève une question essentielle : quel avenir pour les travailleurs peu qualifiés dans un monde dominé par l’automatisation ?
La compression ou la stabilisation des effectifs dans des entreprises aussi gigantesques que ces deux distributeurs ne frappe pas seulement par son ampleur, mais surtout par son renversement de sens. Là où autrefois l’embauche massive témoignait de la bonne santé économique et sociale, aujourd’hui la réduction du personnel est brandie comme une preuve de modernité et d’agilité. Ce glissement idéologique crée une tension palpable pour les classes populaires, qui se trouvent prises en étau entre l’angoisse du chômage et l’espoir d’une reconversion que le système peine à organiser efficacement...

https://www.ia-info.fr/ia-act-et-hypocrisie-politique-une-regulation-qui-protege-qui.html

L’adoption de l’AI Act européen, saluée comme une avancée réglementaire mondiale en matière d’intelligence artificielle, révèle en réalité une série de paradoxes, de tensions et de frustrations qui traversent la société française autant que l’écosystème technologique européen. Si la promesse initiale du texte affichait une ambition claire : protéger le citoyen européen face à des technologies à risques aux impacts sociétaux profonds, ses modalités d’application, tout comme la manière dont le débat a été structuré, soulèvent une question fondamentale : cette régulation protège-t-elle vraiment l’utilisateur final, ou bien entérine-t-elle, sous couvert d’éthique et de responsabilité, la domination structurelle des géants américains du numérique tout en bridant l’innovation locale et en faisant peser la charge de conformité sur les start-ups et PME françaises ?

Au cœur de cette problématique se trouve un angle mort rarement évoqué dans la communication institutionnelle : l’asymétrie persistante entre les moyens des GAFAM et ceux de l’écosystème français, de la complexité technique des normes, jusqu’à l’orchestration même du débat public autour de la régulation. Les GAFAM, dès l’origine, n’ont pas caché leur intérêt pour une régulation forte sur le Vieux Continent, jouant habilement la carte d’une autorégulation éthique aux États-Unis tout en poussant activement, à Bruxelles, à fixer des contraintes qui seraient rédhibitoires pour des acteurs émergents. L’AI Act, tout comme le RGPD hier, est désormais perçu par de nombreuses voix du secteur comme un outil d’écrémage de la concurrence européenne plutôt qu’un vrai rempart contre les dérives de la Silicon Valley : « Les Américains, conscients du potentiel commercial de l’IA, ont compris que la sur-réglementation européenne pouvait devenir un avantage concurrentiel pour eux », analyse Stéphane Roder, un consultant reconnu du secteur. Cette logique du « piège réglementaire », déjà appliquée avec succès par les big tech sur la donnée personnelle, se répète ici : les entreprises américaines leaders sur le marché de l’IA ont salué la démarche, feignant d’y voir un risque systémique, tandis que dans les faits, la massivité de leurs ressources leur permet d’absorber la complexité administrative et financière du nouveau texte sans difficulté décisive.