
Il en faut peu pour faire aimer la lecture et j’en suis le témoin. Je le dois à deux émotions contraires au lycée, la première, la peur suscitée par mon professeur, la seconde, une attention imméritée.
Une émotion suffit pour ouvrir les portes de la lecture. Et c’est souvent cette absence qui prive de littérature bon nombre de lecteurs.
Cependant il n’y a pas d’abandon définitif…