
Aujourd’hui, on vous parle d’une maman.
Pas celle qui poste ses gâteaux sur Insta.
Pas celle qu’on fête en mai avec des colliers de nouilles.
Non. Une autre.
Celle qu’on ne voit jamais. Qu’on n’écoute jamais.Celle qu’on enferme, un numéro tatoué dans l’oreille.
Pas dans une ferme enchantée. Pas sur une carte postale.
Mais dans une maternité industrielle. Et sa maternité à elle… c’est une cage.
Bienvenue au pays de l'élevage des mamans truies.