La couleur des mots est une mosaïque de récits et de parcours réussis, malgré les différences et la diversité des identités. "Malgré ? Ou
plutôt grâce !", nous affirment celles et ceux qui témoignent de leur parcours. Des itinéraires au sein de la société française qui doivent beaucoup à leur appropriation de la langue et à l'usage des mots qui les ont accompagnés. Une France à l’identité multiple et à laquelle toutes et tous sont viscéralement, chacun et chacune à leur manière, attachés.
Cette première série de portraits sensibles rend compte du foisonnement bien réel d'énergies, d'histoires et de vécus qui font la richesse de notre société, et qui contribuent à l'imaginaire du monde de demain.
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La couleur des mots est une mosaïque de récits et de parcours réussis, malgré les différences et la diversité des identités. "Malgré ? Ou
plutôt grâce !", nous affirment celles et ceux qui témoignent de leur parcours. Des itinéraires au sein de la société française qui doivent beaucoup à leur appropriation de la langue et à l'usage des mots qui les ont accompagnés. Une France à l’identité multiple et à laquelle toutes et tous sont viscéralement, chacun et chacune à leur manière, attachés.
Cette première série de portraits sensibles rend compte du foisonnement bien réel d'énergies, d'histoires et de vécus qui font la richesse de notre société, et qui contribuent à l'imaginaire du monde de demain.
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Sabyl GHOUSSOUB / Le liban en héritage
A l’occasion de la sortie de son ouvrage "Beyrouth entre parenthèse" ed L’Antilope
“Les racines sont utiles pour deux choses : les fuir et les retrouver".
Cette citation emprunté à l’écrivain Samuel Brussel ouvre le deuxième roman Sabyl Ghoussoub, “Beyrouth entre parenthèses. Une pensée qui résume tout l’esprit de l'œuvre en construction de ce jeune auteur franco libanais né en 1988 à Paris où s'étaient réfugiés ses parents treize ans plus tôt pour fuir l’interminable guerre civile libanaise.
Sabyl Ghoussoub qui est aussi commissaire d'exposition, journaliste et photographe s’inscrit dans le mouvement de ces jeunes artistes et écrivains libanais, souvent nés dans l’exil qui s'affranchissent des carcans politiques et religieux de ce pays qui ne cicatrise pas de ses blessures de la guerre civile et porte les stigmate des conflits en cours de ses voisins comme la Syrie et bien sur Israël avec qui le Liban est toujours en guerre larvée.
Ghoussoub manie l'humour et la transgression bien utile pour naviguer dans la complexité et la richesse de sa double identité et pour affronter les vicissitudes de l’histoire contemporaine du pays de ses origines familiales. Un pays dont la crise sanitaire a étouffé une révolution et peut être aussi le scandale de l’explosion de 2700 tonnes de nitrate d'ammonium délaissées par les autorités dans le port de Beyrouth le août 2020. C’est juste après cette date où le cœur des libanais à explosé, qu’à été publié aux éditions de l’Antilope ce deuxième roman d’un écrivain va vous surprendre par la liberté de son ton et sa légèreté malicieuse.
CRÉDITS
“Le Nez Juifs” et
” Beyrouth entre parenthèse “
édités par L’Antilope
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