La couleur des mots est une mosaïque de récits et de parcours réussis, malgré les différences et la diversité des identités. "Malgré ? Ou
plutôt grâce !", nous affirment celles et ceux qui témoignent de leur parcours. Des itinéraires au sein de la société française qui doivent beaucoup à leur appropriation de la langue et à l'usage des mots qui les ont accompagnés. Une France à l’identité multiple et à laquelle toutes et tous sont viscéralement, chacun et chacune à leur manière, attachés.
Cette première série de portraits sensibles rend compte du foisonnement bien réel d'énergies, d'histoires et de vécus qui font la richesse de notre société, et qui contribuent à l'imaginaire du monde de demain.
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La couleur des mots est une mosaïque de récits et de parcours réussis, malgré les différences et la diversité des identités. "Malgré ? Ou
plutôt grâce !", nous affirment celles et ceux qui témoignent de leur parcours. Des itinéraires au sein de la société française qui doivent beaucoup à leur appropriation de la langue et à l'usage des mots qui les ont accompagnés. Une France à l’identité multiple et à laquelle toutes et tous sont viscéralement, chacun et chacune à leur manière, attachés.
Cette première série de portraits sensibles rend compte du foisonnement bien réel d'énergies, d'histoires et de vécus qui font la richesse de notre société, et qui contribuent à l'imaginaire du monde de demain.
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Rencontre avec le réalisme magique de la romancière et journaliste Fawzia Zouari, Chevalier des Arts et des Lettres, et Prix des 5 Continents en 2016 pour Le corps de ma mère.
Avec son dernier roman, paru chez Plon au début de l’année, ce n’est pas le Macondo de Garcia- Marquez qui nous est raconté, mais le petit village d’Ebba, en Tunisie. Pourtant, l’universel est là. Et l’équilibre entre récit personnel, souvenirs d’enfance et puissance de l’imaginaire aussi.
Intime, poétique, entre secrets et sortilèges, c’est un mode rural, ancré dans sa terre et son histoire que révèle Par le fil je t’ai cousue. Le corps des femmes y est scellé et enfermé, et toute la palette des accommodements, de la violence et de la beauté, du visible et de l’invisible se mêle et s’entrechoque, pour devenir un récit que toutes les femmes peuvent reconnaître, qu’elles soient d’Orient ou d’Occident.
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