La question de la reconnaissance de la personnalité juridique au profit de la nature bouleverse les fondements du droit de l'environnement depuis maintenant quelques décennies. Elle a même conquis les sphères législative, doctrinale et jurisprudentielle de plusieurs systèmes juridiques. Cet engouement est aussi reflété dans les rapports du GIEC et de l’IPBES, puis porté par le militantisme des ONG. Cependant, tandis que certains affirment que la protection de la nature doit passer entre autres par un cataclysme juridique, d’autres restent résolument attachés à une vision anthropocentrée de l’utilisation des instruments juridiques. Il devient alors intéressant de porter un regard critique sur cette situation en mettant en perspective les différentes problématiques soulevées par cet octroi de la personnalité juridique à la nature, cette dernière étant intimement liée à l’évolution des droits fondamentaux des peuples autochtones et à l’instauration d’une gouvernance environnementale gage de la survie identitaire et culturelle de ceux-ci. C'est dans un dialogue construit que nos invité.e.s et co-animateur.rice.s Jean-Pierre et Gabrielle présentent les tendances internationale et locale canado-québécoise de la controverse.
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La question de la reconnaissance de la personnalité juridique au profit de la nature bouleverse les fondements du droit de l'environnement depuis maintenant quelques décennies. Elle a même conquis les sphères législative, doctrinale et jurisprudentielle de plusieurs systèmes juridiques. Cet engouement est aussi reflété dans les rapports du GIEC et de l’IPBES, puis porté par le militantisme des ONG. Cependant, tandis que certains affirment que la protection de la nature doit passer entre autres par un cataclysme juridique, d’autres restent résolument attachés à une vision anthropocentrée de l’utilisation des instruments juridiques. Il devient alors intéressant de porter un regard critique sur cette situation en mettant en perspective les différentes problématiques soulevées par cet octroi de la personnalité juridique à la nature, cette dernière étant intimement liée à l’évolution des droits fondamentaux des peuples autochtones et à l’instauration d’une gouvernance environnementale gage de la survie identitaire et culturelle de ceux-ci. C'est dans un dialogue construit que nos invité.e.s et co-animateur.rice.s Jean-Pierre et Gabrielle présentent les tendances internationale et locale canado-québécoise de la controverse.
Mythes et stéréotypes, vagues de dénonciation, diffamation, incompréhension du système, pistes de réfléxion : l’agression sexuelle telle qu’elle est vue et vécue en 2021. Quelles critiques pouvons-nous opposer au système judiciaire lorsque cette dernière est concernée ? Pourquoi la perte de confiance des victimes vis-à-vis le système ? Trois étudiantes de la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke ont réfléchi à ces questions d’importante envergure par le biais de trois essais traduisant l’atmosphère régnant actuellement sur la scène publique. Lors de cet épisode réalisé en collaboration avec le Comité féministe de l’Association générale des étudiant.e.s en droit de l’Université de Sherbrooke, la discussion portera sur les enjeux reliés aux violences à caractère sexuel et sur la démystification de certains d’entre eux. Voici donc une mise en perspective du système face aux agressions sexuelles : une réflexion sur un enjeu sérieux, mais abordé sans prétention.
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La question de la reconnaissance de la personnalité juridique au profit de la nature bouleverse les fondements du droit de l'environnement depuis maintenant quelques décennies. Elle a même conquis les sphères législative, doctrinale et jurisprudentielle de plusieurs systèmes juridiques. Cet engouement est aussi reflété dans les rapports du GIEC et de l’IPBES, puis porté par le militantisme des ONG. Cependant, tandis que certains affirment que la protection de la nature doit passer entre autres par un cataclysme juridique, d’autres restent résolument attachés à une vision anthropocentrée de l’utilisation des instruments juridiques. Il devient alors intéressant de porter un regard critique sur cette situation en mettant en perspective les différentes problématiques soulevées par cet octroi de la personnalité juridique à la nature, cette dernière étant intimement liée à l’évolution des droits fondamentaux des peuples autochtones et à l’instauration d’une gouvernance environnementale gage de la survie identitaire et culturelle de ceux-ci. C'est dans un dialogue construit que nos invité.e.s et co-animateur.rice.s Jean-Pierre et Gabrielle présentent les tendances internationale et locale canado-québécoise de la controverse.