Dans notre émission “C’est le ton qui fait la panique”, on parle aujourd’hui du langage de la pensée unique.
Dans une vraie démocratie, chacun doit pouvoir parler librement et donner son avis.
Mais parfois, certains dirigeants refusent la critique et imposent une seule façon de penser.
En RDC, on l’a vu récemment : un député a été attaqué simplement parce qu’il n’a pas suivi les consignes de son parti concernant l’élection du président de l’Assemblée nationale.
Quand le chef parle, personne n’ose répondre.
Et ceux qui ne suivent pas sont punis ou rejetés.
C’est ce qu’on appelle le langage de la pensée unique.
Un danger pour la démocratie, car sans débat, il n’y a plus de liberté.
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Dans notre émission “C’est le ton qui fait la panique”, on parle aujourd’hui du langage de la pensée unique.
Dans une vraie démocratie, chacun doit pouvoir parler librement et donner son avis.
Mais parfois, certains dirigeants refusent la critique et imposent une seule façon de penser.
En RDC, on l’a vu récemment : un député a été attaqué simplement parce qu’il n’a pas suivi les consignes de son parti concernant l’élection du président de l’Assemblée nationale.
Quand le chef parle, personne n’ose répondre.
Et ceux qui ne suivent pas sont punis ou rejetés.
C’est ce qu’on appelle le langage de la pensée unique.
Un danger pour la démocratie, car sans débat, il n’y a plus de liberté.
En temps de guerre, contester est un droit. Une nécessité, même. Mais que se passe-t-il lorsque le langage de la contestation commence à exclure, à pointer du doigt, à délégitimer toute voix différente ? Quand les mots deviennent des armes et que la critique vire à la haine, le débat se transforme en division, et la fracture s'approfondit.
Dans ce nouvel épisode de "C’est le ton qui fait la panique", on décrypte les discours contestataires qui, sous couvert de dénonciation, nourrissent le rejet de l’autre. Qui est mis de côté ? Comment certaines rhétoriques créent des camps irréconciliables, voire justifient la violence ?
Habari RDC
Dans notre émission “C’est le ton qui fait la panique”, on parle aujourd’hui du langage de la pensée unique.
Dans une vraie démocratie, chacun doit pouvoir parler librement et donner son avis.
Mais parfois, certains dirigeants refusent la critique et imposent une seule façon de penser.
En RDC, on l’a vu récemment : un député a été attaqué simplement parce qu’il n’a pas suivi les consignes de son parti concernant l’élection du président de l’Assemblée nationale.
Quand le chef parle, personne n’ose répondre.
Et ceux qui ne suivent pas sont punis ou rejetés.
C’est ce qu’on appelle le langage de la pensée unique.
Un danger pour la démocratie, car sans débat, il n’y a plus de liberté.