On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
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On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
Rebecca Zlotowski : "Ce qui m’intéresse chez Zahia, c’est son courage sexuel"
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
10 minutes 31 seconds
6 years ago
Rebecca Zlotowski : "Ce qui m’intéresse chez Zahia, c’est son courage sexuel"
C’était un pari risqué : caster, dans le rôle principal d’Une Fille facile, celle qui fut au cœur de "l’affaire Zahia" en 2010. "C’est vrai qu’il y avait une frilosité au moment du casting, se souvient la réalisatrice Rebecca Zlotowski. On me disait : pourquoi tu ne fais pas jouer le personnage par une actrice, plutôt ?" Or, Zahia Dehar en impose dans le rôle de Sofia, jeune femme séduisant des hommes riches le temps d’un été cannois, sous le regard de sa jeune cousine de 16 ans, Naïma. Parce que la caméra de Rebecca Zlotowski l’observe, la respecte, et laisse entendre sa voix.
"J’ai grandi dans l’idée il fallait gommer une certaine forme de féminité pour être crédible. Zahia ne s’embarrasse pas de ça. Elle est dans l’ultra sexualisation, l’uber féminité. Mais elle connaît ces codes, et sait en jouer." Une fille facile a été tourné à Cannes hors festival et Rebecca Zlotowski a su parfaitement rendre son côté solaire et cliquant à la fois : "je voulais une ville où il y avait des yachts, et des pizzeria."
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."