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Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
Grazia Daily Cannes
9 episodes
6 months ago
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté." Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
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On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté." Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
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Mati Diop : "Il y a autant de personnalités fortes que de femmes en Afrique"
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
14 minutes 20 seconds
6 years ago
Mati Diop : "Il y a autant de personnalités fortes que de femmes en Afrique"
C’est un film dont les images nous ont hanté longtemps. Dans un Dakar entre mer et chantiers, Ada et Souleiman sont jeunes, beaux, et se retrouvent en secret pour s’aimer. Jusqu’au jour où, face à un avenir trop misérable, il prend la mer pour émigrer, la laissant promise à un mariage arrangé. Dans Atlantique, Mati Diop choisit de raconter les ravages de la violence sociale et économique par le biais d’une histoire d’amour. Et à travers le regard d’une jeune femme, qui se bat pour trouver sa voie. Première femme métis à être sélectionnée dans la Compétition officielle (et pour un premier long-métrage, qui plus est), Mati Diop salue l’ouverture du Festival à la diversité, mais reste déterminée à ne pas en être un étendard : "Je ne veux pas que les programmateurs soient plus bienveillants parce que je suis une femme d’origine africaine. Il faut que les films soient bons, avant tout." Pari réussi : quel que soit le palmarès du Festival le 25 mai, Atlantique nous a happés, jusqu’au bout.
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté." Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."