Home
Categories
EXPLORE
True Crime
Comedy
Society & Culture
Business
Sports
TV & Film
Health & Fitness
About Us
Contact Us
Copyright
© 2024 PodJoint
00:00 / 00:00
Sign in

or

Don't have an account?
Sign up
Forgot password
https://is1-ssl.mzstatic.com/image/thumb/Podcasts125/v4/ef/a6/bb/efa6bb24-1f6d-463f-f4a5-d25c5d06d09a/mza_11762031926939836442.jpg/600x600bb.jpg
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
Grazia Daily Cannes
9 episodes
6 months ago
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté." Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
Show more...
Society & Culture
RSS
All content for Grazia Daily Cannes : La Bande Originale is the property of Grazia Daily Cannes and is served directly from their servers with no modification, redirects, or rehosting. The podcast is not affiliated with or endorsed by Podjoint in any way.
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté." Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
Show more...
Society & Culture
https://i1.sndcdn.com/artworks-000538187319-2r0uo9-t3000x3000.jpg
Hafsia Herzi : "Le prince charmant n’existe pas, il se façonne"
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
19 minutes 20 seconds
6 years ago
Hafsia Herzi : "Le prince charmant n’existe pas, il se façonne"
Pour Tu mérites un amour, Hafsia Herzi a voulu relever un double défi : celui de réaliser son premier long-métrage en l’autofinançant complètement, et d’en jouer le rôle principal. Elle interprète Lila, jeune Parisienne dévastée par une peine de cœur, qui tente de se reconstruire entre conseils d’amis, rechutes vers son ex, et jeux de séductions avec de nouveaux garçons. De plans drague aux Buttes-Chaumont en amants d’un soir, en passant par des « dates » chopés sur des sites de rencontres, son film dresse, à travers les errances touchantes de son héroïne, le portrait d’une génération : "Je voulais filmer la façon dont notre rapport à l’amour et à la sexualité a changé avec les réseaux sociaux : on n’est plus dans la séduction, davantage dans la consommation". En cadrant au plus près les visages et les corps de ses acteurs (dont nombreux sont des amis), Hafsia Herzi saisit le trouble des amours compliquées avec talent. Et raconte comment le tournage a pu parfois prendre des airs de parcours du combattant.
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté." Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."