On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
All content for Grazia Daily Cannes : La Bande Originale is the property of Grazia Daily Cannes and is served directly from their servers
with no modification, redirects, or rehosting. The podcast is not affiliated with or endorsed by Podjoint in any way.
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."
Doria Tillier : "Le jeu d’acteur a quelque chose d’un peu abstrait"
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
26 minutes 3 seconds
6 years ago
Doria Tillier : "Le jeu d’acteur a quelque chose d’un peu abstrait"
On l’a découverte en miss météo sur Canal + en 2012, avant qu’elle ne décroche une nomination aux César, cinq ans plus tard, pour Monsieur et Madame Adelman, de Nicolas Bedos. Doria Tillier retrouve cette année le réalisateur à Cannes pour La Belle Epoque, présenté hors compétition, et présente aussi Yves, de Benoît Forgeard, sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs. Pour notre podcast, elle revient sur sa vocation d’actrice, ses modèles ("entre Elie Kakou et Julia Roberts"), et la "méthode Doria Tillier" : "faire une sorte de psychanalyse du personnage, qui me permet de mieux le comprendre, et de mieux l’interpréter".
Si monter les marches n’a jamais fait partie de ses rêves d’enfant, elle se réjouit de présenter La Belle Epoque à Cannes, "une véritable célébration". Dans, Yves, elle persuade un rappeur-loser d’acquérir un réfrigérateur intelligent (nommé Yves, donc). "Benoît Forgeard a un univers décalé, très différent du mien. J’ai aimé m’abandonner à ce qu’il me disait de faire." Deux films qui devraient révéler tout son talent.
Grazia Daily Cannes : La Bande Originale
On l’avait adorée dans Victoria, de Justine Triet, en 2016. Virginie Efira retrouve la réalisatrice pour Sybil, dans lequel elle incarne une psychanalyste qui se sert de la vie de l’une de ses patientes (Adèle Exarchopoulos) pour nourrir l’écriture de son roman. Un film différent, dans son thème, son propos, comme sa création : "Il y avait dans Sybil un cadre encore plus affirmé de réalisation, qui m’a permis de trouver un espace de liberté."
Dans ce nouvel épisode, Virginie Efira aborde aussi la façon dont elle a travaillé son personnage, ainsi que celui de nonne possédée par Jésus dans Benedetta, le prochain film de Paul Verhoeven. Et parle de sa carrière d’actrice, de savoir préserver sa vie personnelle tout en enchaînant les tournages, et d’avoir commencé "tard" dans le cinéma : "J’ai longtemps cru que c’était quelque chose en moins, j’en avais honte. Puis j’ai dépassé cela. Et je crois que Justine Triet aime cela aussi chez moi : ça produit une identité."