
Depuis maintenant deux ans, pas une semaine ne se passe sans qu’un confrère, une formatrice ou un client ne me fasse part de son incompréhension face à la désertion professionnelle ou scolaire à laquelle il assiste.
Face à ce phénomène et à l’ampleur qu’il semble prendre, j’ai eu envie de vous partager mon analyse et ma vision.
En effet, en 2019, au bout de six années de salariat j’ai moi même décidé d’arrêter mon contrat et de me lancer en tant qu’indépendante. Et par delà le cadre, c’était bien des croyances et des idées que je décidais de laisser de côté.
Parallèlement à cela, dans quelques jours finira ma quatrième – et peut-être dernière – année universitaire. Depuis 2019, je forme et j’accompagne des étudiants du bachelor au master en école de commerce et je recueille régulièrement leurs états d’âme et leurs envies de demain.
Face à toutes ces émotions et à ce changement sociétal profond, quel est donc l’ingrédient central mais pourtant oublié qui semble faire défaut et désenchanter les actifs ?