Vas-y, vas-y, monte dans le train du génie sans talent, mais avec un ta langue fourche, un talent fou pour dire des imbécillités, faire l’idiot, faire le pitre et saigner. D’un seul coup laisser la scène vide, palpitante, les spectateurs hagards, les oreilles saignantes et s’en aller en saigner ailleurs, enseigner la torpeur...
Suite du Journal de l'anti-confinement: https://soundcloud.com/luca-truyar-513896214
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Vas-y, vas-y, monte dans le train du génie sans talent, mais avec un ta langue fourche, un talent fou pour dire des imbécillités, faire l’idiot, faire le pitre et saigner. D’un seul coup laisser la scène vide, palpitante, les spectateurs hagards, les oreilles saignantes et s’en aller en saigner ailleurs, enseigner la torpeur...
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Eternuer et lancer des torrents
Dans la mêlée
Oreilles attentives, aimantes, apaisantes
Des émotions qui dansent dans le monde
Et en soi
Pour soi
Paysage de mots
Vallée de sanglots
Jouissance sans fin
Humus du temps
Chagrin d’antan
La joie, toujours, toujours, toujours
Plus profonde que la tristesse
Incommensurable
Qui emporte tout
Sur son passage, tellement de beauté
Dans le regard
Noir
Comme ta peau
Zarathoustra en sanglots
Exprimer ses émotions
Ment
Tir
N’est pas une possibilité
Les écouter et les vivre
Sans s’arrêter
Dans le flux et reflux
Des mes pensées
Marée sans lune
Ressac des dunes
Tisser des arcs en ciel
Noir sur noir
Dans le ciel
Dégradés
Qui s’étirent et s'envolent
Dans le ciel azuré de la pensée
Fragmentée en rhizomes
Racines qui s’articulent
Sur la page blanche
Zinzoline
D’encre et de spleen
Genie sans talent
Vas-y, vas-y, monte dans le train du génie sans talent, mais avec un ta langue fourche, un talent fou pour dire des imbécillités, faire l’idiot, faire le pitre et saigner. D’un seul coup laisser la scène vide, palpitante, les spectateurs hagards, les oreilles saignantes et s’en aller en saigner ailleurs, enseigner la torpeur...
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