
Les mots lus comme un chant. Il est impossible de ne pas scander les mots que l’on découvre au fil de la lecture dans des phrases courtes et rythmées, avec des répétitions comme des vagues qui reviennent régulièrement faire crisser les coquillages sur la grève. L’écriture est entièrement mise au service des deux récits et les auteurs ont certainement utilisé leur corps pour transcrire leur pensée et la transmettre à la pointe du stylo. Rencontre animée par Alexandre Blomme enregistrée dans le cadre du 37e Festival du premier roman de Chambéry, organisé par l’association Lectures Plurielles.