
Nous sommes tous responsable de nos action.
J'ai longtemps pensé qu'un mauvais comportement était automatiquement pardonné lorsque l'intention n'y étais pas.
Mais le mal causé reste présent et la douleur ressentie s'amplifie quand on a en face de nous une personne que l'on aime mais qui n'a pas conscience de ce qu'elle fait.
La promesse de changement restera superficielle devant les supplications de la victime.
Et petit à petit le mal prendra place et s'encrera pour y installer un enfer quotidien.
Devant la passivité de l'oppressé la porte renfermant le mal n'aura de cesse de s'ouvrir,
Brûlant à petit feu le martyr inconscient de son sort.
Il puisera inlassablement de ses ressources dans l'espoir que la porte se referme, mais elle ne se refermera jamais.
Son sort était scellé à l'embrasure de cette porte qui commençais à s'ouvrir.
J'ai un monstre dans mon placard..