Entre les modèles dans les médias, les prétentions sur les réseaux, les mensonges de tous les jours, les commentaires l’air de rien des parents, notre image est sans cesse remise en cause et souvent pas en bien.
Des gens qui sont satisfait à 100% de leur image, il n’y en a pas beaucoup. Et ça dit quelquechose. Oui ça dit que la société n’est pas aidante en ce qui concerne l’acceptation, mais ça dit aussi qu’il y a des choses à faire pour apprendre à s’aimer et à se plaire.
Pour cela, Marine Lecroart a développé des « soins photographiques », un mélange de séance photo, maieusthésie, libération des émotions, création visuelle. Un joli cocktail comme un plaid de douceur qui vient se poser sur nos blessures pour les cicatriser. Dans ces épisode, Marine nous a raconté sa méthode, mais on a aussi parlé des séances photos qu’elle fait dans la nature ou dans l’eau, on a parlé du rôle des réseaux sociaux dans cette histoire et de comment les utiliser pour enfin éduquer les gens aux images réelles et pas qu’aux images trafiquées; on a parlé de photo thérapie, de corps âgés, de corps jeune, bref, on a parlé de bienveillance. Et puis aussi de créativité quand même puisque Marine nous a parlé de ses inspirations, tout en vivance..
L’ordonnance culturelle de Marine c’est le livre "Suis ton âme elle connait le chemin", un livre guide de Virginie Bobée et Violette Germont
Vous pouvez retrouver son travail sur Instagram: https://www.instagram.com/marinelecroartphotographies
Et prendre rendez-vous pour un shooting ici: https://www.marinelecroart.com/
Bienvenue dans l'épisode 21 de D'IODE, ton chemin vers la lumière!
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En création il y a un débat qui revient très souvent: le fond ou la forme. Cela fait des années que je crie au monde « LES DEUX »!!!! Créer pour ne rien dire, ça n’a pas de sens, mais créer avec froideur et cartésianisme ça ne remue pas les foules non plus. Alors oui, la sensibilité devient un atout incontournable d’une création réussie. Parce que utiliser sa sensibilité, c’est utiliser son humanité. Et un humain qui parle aux humains, en général c’est un bon début.
Aurélia Monaco est une grande spécialiste du sujet: elle est hypersensible, elle est poétesse visuelle et elle a lancé un programme d’accompagnement pour vous aider à utiliser votre sensibilité comme le plus beau des pinceaux. Qu’elle soit cachée bien au fond de vous, ou qu’elle soit à fleur de votre peau, Aurélia vous accompagne dans l’éclosion de votre sensibilité, en mêlant des outils thérapeutiques et créatifs.
Dans cet épisode on a parlé de la place de la sensibilité chez les artistes et les créatifs, on a parlé des outils sensibles à notre disposition, on a parlé du développement de nos mondes intérieurs et imaginaires, des ingrédients utiles, des rituels de passage, des solutions d’apaisement et des confrontations au monde.
Que vous soyez déjà sensible ou que vous fantasmiez de le devenir, cet épisode de D’IODE vous donnera des pistes de réflexion pour développer vos projets créatifs, tout en développant votre bien-être. Et c’est ainsi que naitra votre lumière intérieur !! Elle est pas belle la vie?
L’ordonnance culture de l’épisode c’est la chaine YouTube Tistrya: https://www.youtube.com/@Tistrya
Une chaîne dédiée au développement personnel et à la spiritualité.
Vous pouvez retrouver Aurélia Monaco sur son site: https://aureliamonaco.com/
Et sur Instagram: https://www.instagram.com/aureliamonaco_/
Son livre est ici: https://librairie.gereso.com/livre-developpement-professionnel-et-personnel/developpement-personnel/j-assume-mon-hypersensibilite-iper.html
Bienvenue dans l'épisode 20 de D'IODE, ton chemin vers la lumière!
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J’ai rencontré Marion il y a plus de dix ans dans une troupe de théâtre d’impro. Et déjà à l’époque j’étais admirative de sa capacité à trouver des idées, à raconter des histoires. Le temps à passé et j’ai continué d’admirer son travail et sa créativité.
C’était alors évident que je voulais l’inviter dans D’IODE. J’avais envie de comprendre où elle trouve son inspiration et où elle trouve sa force. J’avais envie de parler de ses derniers travaux. Notamment son livre pour enfant « Il était une pois », publié aux éditions du parapluie jaune, qui raconte l’histoire d’une coccinelle qui se sent différente. J’avais envie de parler de ses affiches avec ces jeux de mots si taquins, et aussi parler de la marque qu’elle vient de créer « Happypotame ». Et Marion a dit oui, on a parlé de tout cela et même plus. Une évidence s’est imposée: parfois la famille, notre enfance, l’enfance de nos enfants, c’est la plus grande source d’inspiration possible. Et c’est parfois mal vu, vous allez voir.
Dans cet épisode Marion nous parle de son métier, de sa créativité, de ses maternités, de ses deuils et de ses rêves. Et c’est incroyablement inspirant!
L’ordonnance culturelle de Marion ce sont les appli Pinterest et Behance. Et oui, on ne parle pas assez des outils créatifs, ou des outils d’inspiration, mais parfois ce sont bien eux qui nous aident à créer de nouveaux projets.
Si le travail de Marion vous intéresse, foncez sur www.happypotame.com !
Bienvenue dans l'épisode 18 de D'IODE, ton chemin vers la lumière!
Cet épisode est réalisé à la mémoire de Simon Lemmonier <3
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Quand je parle de mon passé à la radio, quand je prends la parole en réunion, quand je monte sur scène, on me fait souvent la même remarque: comment fais-tu pour parler aussi bien en public? Le sujet de l’art oratoire, ou art de l’oral ou encore expression publique, est au coeur de ma carrière et de mon quotidien. Cela fait partie des sujets pour lesquels je me bats: permettre à chacun d’être à l’aise à l’oral. Aussi bien sur le fond que sur la forme.
Etant aussi impliquée, j’ai eu envie d’une vision extérieure pour aborder le sujet ici. J’ai alors proposé à ma chère Emilie Brigand de participer à un épisode de D’IODE. Emilie est journaliste, comédienne, prof d’art oral, et auteure du livre « Bien dans ma voix » aux éditions First. C’était donc la personne idéale pour parler de ce sujet de… l’aisance orale.
Ensemble on s’est demandé pourquoi certaines personnes sont plus à l’aise que d’autres ? S’il y a des choses dans l’appareil vocal qui nuisent à une bonne oralité? Et surtout si l’aisance orale a un lien avec le fait d’être bien dans ses baskets? Est ce que le fait de pouvoir s’exprimer en public est facilité par le fait de se sentir à la bonne place? Allez savoir …
L’introduction chantée de l’épisode c’est « Silbo » de Féloche. Une chanson plébiscitée par Emilie pour son rapport au langage. Même si c’est celui des oiseaux :-) La référence culturelle c’est évidemment le livre d’Emilie. Mais elle a également tenu à nous parler d’une pièce de théâtre: « Est ce que j’ai une tête d’Arlettie ». Arlettie étant un personnage parisien iconique connu pour sa verve et sa façon de parler inimitable !
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Marlène Schaff est la troisième invitée de D’IODE. C’est une artiste accomplie: chanteuse, comédienne, pianiste, compositrice, drag queen et coach vocal. Vous l’aurez compris, Marlène a les deux casquettes: celles d’être devant et derrière la scène. Quand elle est devant elle prend la lumière et elle l’offre au public. Quand elle est derrière, elle cherche la lumière en chaque artiste pour l’aider à la diffuser. Marlène est donc l’invitée idéale pour aborder la question: comment est ce qu’ils nous voient, les autres?
Et pas n’importe quels autres? Les directeurs de casting, les juges, les profs, le public? C’est quoi le regard que les gens posent sur nous en tant que créateur? Comment on le gère? Comment on va chercher la lumière malgré les critiques ? Comment on affronte la société ? Comment on constate, on observe, et on s’en sert pour être toujours plus fort ?
Marlène nous fait le cadeau aujourd’hui de revenir sur le grandes étapes de sa vie qui l’ont aidée à avancer: du club théâtre du collège à The Voice, en passant par sa rencontre avec Louis Bertignac. Elle nous parlera aussi de son point de vue de coach sur les artistes d’aujourd’hui et notamment de son travail de coach vocal à The Voice. Parce que oui, Marlène a fait The Voice en tant qu’artiste, mais aussi en tant que coach. La double casquette…. Encore une preuve qu’on peut tout faire dans la vie !
L’introduction chantée de l’épisode c’est « Perfect » de Ed Sheran. En hommage au credo de Marlène qui est de penser que tout le monde est parfait comme il est à la base. Et la recommandation culturelle c’est une télé-réalité qui prône tout autant la bienveillance: c’est le concours de drag Queen, "RuPaul Drag Race", disponible sur Netflix. Une série hautement artistique où l’objectif est de s’épanouir créativement et humainement. Ça fait du bien de voir des programmes positifs ! (Commencez par la saison 05 me glisse Marlène)
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Caroline Garnier est la deuxième invitée de D’iode. Et c’est une invitée très particulière car c’est une de mes anciennes élèves. J’ai connu Caroline à ses tout débuts, quand elle se demandait quel chemin prendre pour réaliser ses rêves. Aujourd’hui Caroline est professionnelle et vit de son rêve. Elle a acceptée de participer à D’iode et est donc venue nous parler de son parcours autour d’un petit-déjeuner.
Ensemble on a abordé les différentes étapes qui ont jalonnées sa réussite. On s’est demandé qu’est ce qu’était l’aboutissement de la réussite ? Puis Caroline nous a confié ses doutes et ses difficultés, et surtout elle nous a confié ses victoires et ses succès.
Alors est ce que la réussite c’est l’argent, les titres ou les contacts? Est ce que réussir c’est autre chose? Et surtout y’a t’il une clé pour réussir, comment ça marche la réalisation de ses rêves?
Dans cet épisode il y a une oeuvre qui est revenue régulièrement dans la conversation, c’est l’oeuvre de comédie musicale « Cabaret » de Bob Fosse avec Liza Minelli. J’ai donc décidé d’interpréter un extrait de ce show en introduction de l’épisode. Il s’agit de « Maybe this Time ». C’est la première moitié de la recommandation culturelle de l’épisode. L’autre moitié, c’est un poème que Caroline affectionne beaucoup. Il s’appelle « Je te souhaite de ne pas réussir ta vie » écrit par Jean Debruynne. Un contre-pied qui devrait vous inspirer.
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Depuis le mois de février j’ai connu une grosse baisse énergétique. A tel point que je suis tombée malade deux fois au cours du même mois. En langage des oiseaux, on dit qu’une maladie c’est le « mal à dit », le mal qui a dit. C’est le corps qui s’exprime pour alerter sur un désalignement. Il y a quelque chose qui ne va pas. C’est une activité, un lieu, une personne, qui n’entre plus en résonance avec nous et dont on doit s’éloigner. Parfois c’est aussi une peur à guérir. Et quand on veut être créateur, c’est tout un chemin de guérison des blessures qu’on doit opérer, pour pouvoir se présenter sur la scène de la vie, de la façon la plus authentique possible. Plus on est aligné à l’intérieur, plus on peut avancer vers nos rêves. Et cela vaut pour une vie artistique ou pas :-)
Dans cet épisode je vous partage mon expérience personnelle à ce sujet. Pourquoi mon énergie a t’elle subitement baissée? Comment je l’ai compris et comment j’ai cherché à le solutionner, sont les éléments de réponses que j’apporte à ces questionnements.
Vous allez découvrir deux lieux sacrés dans lesquels je me suis rendue pour pouvoir me réaligner. Et je vais également vous parler d’un livre incroyable qui m’a beaucoup aidée, et qui devrait clairement faire partie des enseignements scolaires !!
L’introduction de cet épisode c’est « Beau Malheur » d’Emmanuel Moire. Parce que c’est en expérimentant les « down » qu’on peut conscientiser plein de choses et avancer vers les « up ». C’est un beau processus.
Et la recommandation culturelle c’est le livre « La clé de votre énergie » de Natacha Calestrémé.
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Qu’est ce qu’on ressent quand on monte sur scène? Comment notre corps réagit? Comment notre cerveau réagit? Comment on gère le trac pour offrir la meilleure prestation possible et délivrer le meilleur message? Voici quelques unes des questions qui vont animer ce deuxième épisode de D’iode. Je crois que quand on monte sur scène, on laisse un peu de son ego derrière soi, pour s’offrir totalement au public. On tue nos parts d’ombre pour aller vers la lumière. Et alors qu’on pense qu’on va y laisser notre peau, on découvre qu’on renait, qu’on devient un meilleur artiste.
C’est ce que je vais vécu à l’occasion de ma première scène ouverte, et que je vous raconte dans cet épisode. Je vais donc en profiter pour faire un joli parallèle avec la notion de mort et de renaissance. Parce que quand on meurt, on ne meurt pas vraiment. Il y a une vie après la vie. Enfin je crois :-)
L’introduction musicale de l’épisode c’est « Prière au printemps » de Barbara Pravi. Parce que oui c’est bientôt le printemps. Une autre forme de renaissance. Et la recommandation culturelle c’est le livre « Bardo Thödol » de Padmasambhava. Dit aussi « Livre des morts tibétains » en occident.
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