Et si, derrière nos envies d’objets, nos goûts pour la rareté ou notre culte du “beau”, se cachait quelque chose de plus ancien — presque sacré ?Si nos rapports à l’argent, au prestige ou à la consommation du luxe étaient en réalité dictés par une histoire bien plus profonde : celle de la religion ?Dans cet épisode, Décousu décrypte avec le philosophe Mark Alizart (Pop Théologie) la part de religieux qui habite encore nos manières de consommer et d’aimer le luxe.Car entre la grâce du geste français et la réussite ostentatoire américaine, entre la discrétion catholique et la prospérité protestante, se cache tout un héritage qui continue de façonner notre inconscient collectif.Du catholicisme français (rites, beauté, transcendance) au protestantisme américain (sobriété, réussite, mérite), deux visions du monde ont forgé nos morales du luxe : ici, la grâce du beau ; là-bas, le salut par la réussite.Et entre les deux, nos contradictions modernes : entre discrétion et ostentation, plaisir et vertu, héritage et désir. De Max Weber à LVMH, du quiet luxury au baroque, Décousu et Mark Alizart explorent cette théologie cachée du désir, et montrent que consommer n’est jamais neutre : c’est une manière de croire, de se distinguer… parfois même de se sauver. Un sujet en apparence conceptuel, mais en réalité brûlant d’actualité : car dans nos choix les plus futiles se rejouent encore nos quêtes les plus spirituelles.Rejoignez Décousu sur instagram pour échanger en commentaires ! @decousupodcast
All content for Décousu is the property of Agathees and is served directly from their servers
with no modification, redirects, or rehosting. The podcast is not affiliated with or endorsed by Podjoint in any way.
Et si, derrière nos envies d’objets, nos goûts pour la rareté ou notre culte du “beau”, se cachait quelque chose de plus ancien — presque sacré ?Si nos rapports à l’argent, au prestige ou à la consommation du luxe étaient en réalité dictés par une histoire bien plus profonde : celle de la religion ?Dans cet épisode, Décousu décrypte avec le philosophe Mark Alizart (Pop Théologie) la part de religieux qui habite encore nos manières de consommer et d’aimer le luxe.Car entre la grâce du geste français et la réussite ostentatoire américaine, entre la discrétion catholique et la prospérité protestante, se cache tout un héritage qui continue de façonner notre inconscient collectif.Du catholicisme français (rites, beauté, transcendance) au protestantisme américain (sobriété, réussite, mérite), deux visions du monde ont forgé nos morales du luxe : ici, la grâce du beau ; là-bas, le salut par la réussite.Et entre les deux, nos contradictions modernes : entre discrétion et ostentation, plaisir et vertu, héritage et désir. De Max Weber à LVMH, du quiet luxury au baroque, Décousu et Mark Alizart explorent cette théologie cachée du désir, et montrent que consommer n’est jamais neutre : c’est une manière de croire, de se distinguer… parfois même de se sauver. Un sujet en apparence conceptuel, mais en réalité brûlant d’actualité : car dans nos choix les plus futiles se rejouent encore nos quêtes les plus spirituelles.Rejoignez Décousu sur instagram pour échanger en commentaires ! @decousupodcast
Épisode 90 : Le salut par la consommation — Ce que notre rapport au luxe doit à notre héritage inconscient de la religion, avec Mark Alizart
Décousu
1 hour 7 minutes 43 seconds
1 week ago
Épisode 90 : Le salut par la consommation — Ce que notre rapport au luxe doit à notre héritage inconscient de la religion, avec Mark Alizart
Et si, derrière nos envies d’objets, nos goûts pour la rareté ou notre culte du “beau”, se cachait quelque chose de plus ancien — presque sacré ?Si nos rapports à l’argent, au prestige ou à la consommation du luxe étaient en réalité dictés par une histoire bien plus profonde : celle de la religion ?Dans cet épisode, Décousu décrypte avec le philosophe Mark Alizart (Pop Théologie) la part de religieux qui habite encore nos manières de consommer et d’aimer le luxe.Car entre la grâce du geste français et la réussite ostentatoire américaine, entre la discrétion catholique et la prospérité protestante, se cache tout un héritage qui continue de façonner notre inconscient collectif.Du catholicisme français (rites, beauté, transcendance) au protestantisme américain (sobriété, réussite, mérite), deux visions du monde ont forgé nos morales du luxe : ici, la grâce du beau ; là-bas, le salut par la réussite.Et entre les deux, nos contradictions modernes : entre discrétion et ostentation, plaisir et vertu, héritage et désir. De Max Weber à LVMH, du quiet luxury au baroque, Décousu et Mark Alizart explorent cette théologie cachée du désir, et montrent que consommer n’est jamais neutre : c’est une manière de croire, de se distinguer… parfois même de se sauver. Un sujet en apparence conceptuel, mais en réalité brûlant d’actualité : car dans nos choix les plus futiles se rejouent encore nos quêtes les plus spirituelles.Rejoignez Décousu sur instagram pour échanger en commentaires ! @decousupodcast
Décousu
Et si, derrière nos envies d’objets, nos goûts pour la rareté ou notre culte du “beau”, se cachait quelque chose de plus ancien — presque sacré ?Si nos rapports à l’argent, au prestige ou à la consommation du luxe étaient en réalité dictés par une histoire bien plus profonde : celle de la religion ?Dans cet épisode, Décousu décrypte avec le philosophe Mark Alizart (Pop Théologie) la part de religieux qui habite encore nos manières de consommer et d’aimer le luxe.Car entre la grâce du geste français et la réussite ostentatoire américaine, entre la discrétion catholique et la prospérité protestante, se cache tout un héritage qui continue de façonner notre inconscient collectif.Du catholicisme français (rites, beauté, transcendance) au protestantisme américain (sobriété, réussite, mérite), deux visions du monde ont forgé nos morales du luxe : ici, la grâce du beau ; là-bas, le salut par la réussite.Et entre les deux, nos contradictions modernes : entre discrétion et ostentation, plaisir et vertu, héritage et désir. De Max Weber à LVMH, du quiet luxury au baroque, Décousu et Mark Alizart explorent cette théologie cachée du désir, et montrent que consommer n’est jamais neutre : c’est une manière de croire, de se distinguer… parfois même de se sauver. Un sujet en apparence conceptuel, mais en réalité brûlant d’actualité : car dans nos choix les plus futiles se rejouent encore nos quêtes les plus spirituelles.Rejoignez Décousu sur instagram pour échanger en commentaires ! @decousupodcast