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Décousu
Agathees
90 episodes
1 week ago
Et si, derrière nos envies d’objets, nos goûts pour la rareté ou notre culte du “beau”, se cachait quelque chose de plus ancien — presque sacré ?Si nos rapports à l’argent, au prestige ou à la consommation du luxe étaient en réalité dictés par une histoire bien plus profonde : celle de la religion ?Dans cet épisode, Décousu décrypte avec le philosophe Mark Alizart (Pop Théologie) la part de religieux qui habite encore nos manières de consommer et d’aimer le luxe.Car entre la grâce du geste français et la réussite ostentatoire américaine, entre la discrétion catholique et la prospérité protestante, se cache tout un héritage qui continue de façonner notre inconscient collectif.Du catholicisme français (rites, beauté, transcendance) au protestantisme américain (sobriété, réussite, mérite), deux visions du monde ont forgé nos morales du luxe : ici, la grâce du beau ; là-bas, le salut par la réussite.Et entre les deux, nos contradictions modernes : entre discrétion et ostentation, plaisir et vertu, héritage et désir. De Max Weber à LVMH, du quiet luxury au baroque, Décousu et Mark Alizart explorent cette théologie cachée du désir, et montrent que consommer n’est jamais neutre : c’est une manière de croire, de se distinguer… parfois même de se sauver. Un sujet en apparence conceptuel, mais en réalité brûlant d’actualité : car dans nos choix les plus futiles se rejouent encore nos quêtes les plus spirituelles.Rejoignez Décousu sur instagram pour échanger en commentaires ! @decousupodcast
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Et si, derrière nos envies d’objets, nos goûts pour la rareté ou notre culte du “beau”, se cachait quelque chose de plus ancien — presque sacré ?Si nos rapports à l’argent, au prestige ou à la consommation du luxe étaient en réalité dictés par une histoire bien plus profonde : celle de la religion ?Dans cet épisode, Décousu décrypte avec le philosophe Mark Alizart (Pop Théologie) la part de religieux qui habite encore nos manières de consommer et d’aimer le luxe.Car entre la grâce du geste français et la réussite ostentatoire américaine, entre la discrétion catholique et la prospérité protestante, se cache tout un héritage qui continue de façonner notre inconscient collectif.Du catholicisme français (rites, beauté, transcendance) au protestantisme américain (sobriété, réussite, mérite), deux visions du monde ont forgé nos morales du luxe : ici, la grâce du beau ; là-bas, le salut par la réussite.Et entre les deux, nos contradictions modernes : entre discrétion et ostentation, plaisir et vertu, héritage et désir. De Max Weber à LVMH, du quiet luxury au baroque, Décousu et Mark Alizart explorent cette théologie cachée du désir, et montrent que consommer n’est jamais neutre : c’est une manière de croire, de se distinguer… parfois même de se sauver. Un sujet en apparence conceptuel, mais en réalité brûlant d’actualité : car dans nos choix les plus futiles se rejouent encore nos quêtes les plus spirituelles.Rejoignez Décousu sur instagram pour échanger en commentaires ! @decousupodcast
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Épisode 88 : Le vintage pour redéfinir la valeur du luxe, le passé comme boussole du goût contemporain avec Marie Blanchet
Décousu
1 hour 2 minutes 35 seconds
1 month ago
Épisode 88 : Le vintage pour redéfinir la valeur du luxe, le passé comme boussole du goût contemporain avec Marie Blanchet
Qu’est-ce qui distingue un vêtement ancien d’un véritable chef-d’œuvre vintage ? Car le vintage n’est pas la seconde main. Là où la seconde main évoque surtout un prix, le vintage convoque une tout autre grammaire : celle de l’héritage, de l’exclusivité, du goût intime. C’est la rencontre d’une coupe, d’une matière, d’un geste de créateur qui, à travers le temps, conserve intacte sa force émotionnelle.Et si c’était cela, justement, la réponse aux crises actuelles du luxe ? Retrouver dans le vêtement non pas seulement un signe de statut, mais une expérience sensible, une fidélité, une singularité. Redonner au luxe cette intensité qui ne s’use pas avec les saisons, mais se nourrit du temps.Pour en parler, j’ai eu le plaisir de recevoir Marie Blanchet, fondatrice de Mon Vintage et directrice du département vintage du Printemps New York. Ensemble, nous avons parlé de tout ce qui fait la singularité du vintage : le lien subtil et essentiel entre « vintage » et « millésime », l’art de sourcer, restaurer et faire revivre des pièces uniques, les différences culturelles entre la cliente française et américaine, l’évolution du marché, des sacs Hermès records aux trésors encore sous les radars, et surtout, cette idée chère à Marie : la durabilité émotionnelle. Car au-delà des tendances et du marketing, le vintage engage une relation intime, presque philosophique au vêtement — une fidélité, une éducation à la qualité, une transmission de goût.Un épisode qui célèbre le passé non pas comme nostalgie, mais comme boussole pour le présent et pour le luxe de demain.✨Retrouvez le podcast sur instagram @decousupodcast !
Décousu
Et si, derrière nos envies d’objets, nos goûts pour la rareté ou notre culte du “beau”, se cachait quelque chose de plus ancien — presque sacré ?Si nos rapports à l’argent, au prestige ou à la consommation du luxe étaient en réalité dictés par une histoire bien plus profonde : celle de la religion ?Dans cet épisode, Décousu décrypte avec le philosophe Mark Alizart (Pop Théologie) la part de religieux qui habite encore nos manières de consommer et d’aimer le luxe.Car entre la grâce du geste français et la réussite ostentatoire américaine, entre la discrétion catholique et la prospérité protestante, se cache tout un héritage qui continue de façonner notre inconscient collectif.Du catholicisme français (rites, beauté, transcendance) au protestantisme américain (sobriété, réussite, mérite), deux visions du monde ont forgé nos morales du luxe : ici, la grâce du beau ; là-bas, le salut par la réussite.Et entre les deux, nos contradictions modernes : entre discrétion et ostentation, plaisir et vertu, héritage et désir. De Max Weber à LVMH, du quiet luxury au baroque, Décousu et Mark Alizart explorent cette théologie cachée du désir, et montrent que consommer n’est jamais neutre : c’est une manière de croire, de se distinguer… parfois même de se sauver. Un sujet en apparence conceptuel, mais en réalité brûlant d’actualité : car dans nos choix les plus futiles se rejouent encore nos quêtes les plus spirituelles.Rejoignez Décousu sur instagram pour échanger en commentaires ! @decousupodcast