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Cubop sous les étoiles
SUN | Le Son Unique
50 episodes
3 days ago
Dans ce nouveau numéro de Cubop sous les étoiles, Laurent vous convie à un voyage où les ombres de La Havane se mêlent à la douceur nocturne de Toulouse.Une traversée délicate, guidée par le piano clair-obscur d’Harold López-Nussa, dont chaque note semble contenir une mémoire, un sourire, une absence ou un éclat de soleil. Depuis 2023, Harold a posé ses valises dans la ville rose — cité gasconne désormais “Ville des Musiques”. C’est là, dans cette lumière nouvelle, qu’a germé Nueva Timba, son second opus chez Blue Note, un album qu’il décrit comme des “larmes musicales”.Des larmes qui ne coulent pas vers le chagrin, mais vers l’intensité, l’enfance, la joie, le mystère. Au fil de l’émission, trois courants profonds dessinent la cartographie de sa musique :la famille comme port d’attache, Cuba comme respiration première, la rencontre comme moteur d’élan et de liberté. 🎵 Les morceaux deviennent alors des chapitres sonores : • Gitanerías ouvre le bal, dans un dialogue intime entre piano et cajón, comme deux cœurs fraternels qui battent à l’unisson. • Puis viennent Niña con violín et Why, deux confessions musicales où mémoire, tendresse et filiation se déposent sur les touches comme des larmes retenues. • Avec Tierra Mía et Cerca y Lejos, Harold sculpte un diptyque d’horizon et de racines : l’un parle de la terre, l’autre de l’air ; l’un se souvient, l’autre s’élance. • Capullito de Alelí, capté lors d’un concert familial à La Havane, souffle un parfum d’époque, d’enfance et de patio ensoleillé. • Bacalao con pan, l’hymne d’Irakere, ravive la flamme du nouveau jazz cubain, celle qui a bouleversé le monde et inspiré toute une génération. • Carousel, par El Comité , tourbillonne sous la trompette d’Ibrahim Maalouf, souvenance d’une amitié, d’un studio, d’un instant suspendu. • Puis surgit le temp d'un extrait, le souffle profond de Autumn Leaves, interprété par Michel Petrucciani et Eddy Louiss, un duo où la musique respire à deux voix, à deux souffles, à deux âmes. • Enfin, New Day , dans sa version originelle, referme l’émission comme un lever du jour sur l’océan — là où tout recommence, là où tout s’éclaire. Ce soir, Cubop sous les étoiles vous offre un carnet de route musical, un carnet de vie presque, où Harold López-Nussa déroule les fils invisibles de sa création : l’héritage, la transmission, l’exil lumineux, et ces instants qui changent une trajectoire. Une heure intime, traversée d’émotions, de récits, de nuits cubaines et de matins toulousains.Une heure pour écouter comment, dans ce Nueva Timba, un homme raconte son chemin — entre ce qu’il a quitté, ce qu’il aime, et ce qui vient. Et très bientôt, vous pourrez retrouver ici l’intégralité de l’interview — pour prolonger le voyage, approfondir la découverte, et entrer encore un peu plus dans l’univers lumineux d’Harold López-Nussa.
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Dans ce nouveau numéro de Cubop sous les étoiles, Laurent vous convie à un voyage où les ombres de La Havane se mêlent à la douceur nocturne de Toulouse.Une traversée délicate, guidée par le piano clair-obscur d’Harold López-Nussa, dont chaque note semble contenir une mémoire, un sourire, une absence ou un éclat de soleil. Depuis 2023, Harold a posé ses valises dans la ville rose — cité gasconne désormais “Ville des Musiques”. C’est là, dans cette lumière nouvelle, qu’a germé Nueva Timba, son second opus chez Blue Note, un album qu’il décrit comme des “larmes musicales”.Des larmes qui ne coulent pas vers le chagrin, mais vers l’intensité, l’enfance, la joie, le mystère. Au fil de l’émission, trois courants profonds dessinent la cartographie de sa musique :la famille comme port d’attache, Cuba comme respiration première, la rencontre comme moteur d’élan et de liberté. 🎵 Les morceaux deviennent alors des chapitres sonores : • Gitanerías ouvre le bal, dans un dialogue intime entre piano et cajón, comme deux cœurs fraternels qui battent à l’unisson. • Puis viennent Niña con violín et Why, deux confessions musicales où mémoire, tendresse et filiation se déposent sur les touches comme des larmes retenues. • Avec Tierra Mía et Cerca y Lejos, Harold sculpte un diptyque d’horizon et de racines : l’un parle de la terre, l’autre de l’air ; l’un se souvient, l’autre s’élance. • Capullito de Alelí, capté lors d’un concert familial à La Havane, souffle un parfum d’époque, d’enfance et de patio ensoleillé. • Bacalao con pan, l’hymne d’Irakere, ravive la flamme du nouveau jazz cubain, celle qui a bouleversé le monde et inspiré toute une génération. • Carousel, par El Comité , tourbillonne sous la trompette d’Ibrahim Maalouf, souvenance d’une amitié, d’un studio, d’un instant suspendu. • Puis surgit le temp d'un extrait, le souffle profond de Autumn Leaves, interprété par Michel Petrucciani et Eddy Louiss, un duo où la musique respire à deux voix, à deux souffles, à deux âmes. • Enfin, New Day , dans sa version originelle, referme l’émission comme un lever du jour sur l’océan — là où tout recommence, là où tout s’éclaire. Ce soir, Cubop sous les étoiles vous offre un carnet de route musical, un carnet de vie presque, où Harold López-Nussa déroule les fils invisibles de sa création : l’héritage, la transmission, l’exil lumineux, et ces instants qui changent une trajectoire. Une heure intime, traversée d’émotions, de récits, de nuits cubaines et de matins toulousains.Une heure pour écouter comment, dans ce Nueva Timba, un homme raconte son chemin — entre ce qu’il a quitté, ce qu’il aime, et ce qui vient. Et très bientôt, vous pourrez retrouver ici l’intégralité de l’interview — pour prolonger le voyage, approfondir la découverte, et entrer encore un peu plus dans l’univers lumineux d’Harold López-Nussa.
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Cubop sous les étoiles #109
Cubop sous les étoiles
59 minutes
1 month ago
Cubop sous les étoiles #109
 Laurent vous embarque dans un périple où le souffle du mambo se mêle aux réinventions du latin jazz.De New York à Matanzas, de Madrid à Rio, les morceaux jalonnent la route comme autant d’étoiles éclairant la nuit.  À New York, Steven Oquendo réveille la mémoire du Palladium avec Mambo Inn et referme le bal sur une flamboyante relecture de Mamaguela.À Madrid, Rayko León improvise une Descarga en Madrid, tandis qu’à Reykjavík, Halli Gudmunds et son Club Cubano font vibrer les tambours avec Congas Por Favor. Notre Supernova brille depuis Rio : Edison Machado insuffle toute sa liberté dans Porto Feliz. Puis viennent les éclats solaires — le big band de Rafael Rocha avec Você e Eu, la pétillance de Homero Alvarez & Sep7ett avec Caipirinhas, et l’hommage tendre de Roger Glenn à son père dans Brother Marshall. L'album du mois nous ramène à Paris avec Harold López-Nussa, qui transcende le classique Bonito y Sabroso dans une version psychédélique issue de sa Nueva Timba. Depuis Miami, le jeune tromboniste Marlon Caro transforme un thème vidéoludique en salsa dansante avec Wii Theme. Enfin, Matanzas s’embrase : l’Orquesta Failde revisite Yiri Yiri Bom aux côtés de la voix envoûtante d’Eugenia León. Une heure de musique entre mémoire et invention, à savourer sous les étoiles…   Dimanche 20h sur SUN Le Son Unique En podcast sur le site du Son Unique & Deezer
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Dans ce nouveau numéro de Cubop sous les étoiles, Laurent vous convie à un voyage où les ombres de La Havane se mêlent à la douceur nocturne de Toulouse.Une traversée délicate, guidée par le piano clair-obscur d’Harold López-Nussa, dont chaque note semble contenir une mémoire, un sourire, une absence ou un éclat de soleil. Depuis 2023, Harold a posé ses valises dans la ville rose — cité gasconne désormais “Ville des Musiques”. C’est là, dans cette lumière nouvelle, qu’a germé Nueva Timba, son second opus chez Blue Note, un album qu’il décrit comme des “larmes musicales”.Des larmes qui ne coulent pas vers le chagrin, mais vers l’intensité, l’enfance, la joie, le mystère. Au fil de l’émission, trois courants profonds dessinent la cartographie de sa musique :la famille comme port d’attache, Cuba comme respiration première, la rencontre comme moteur d’élan et de liberté. 🎵 Les morceaux deviennent alors des chapitres sonores : • Gitanerías ouvre le bal, dans un dialogue intime entre piano et cajón, comme deux cœurs fraternels qui battent à l’unisson. • Puis viennent Niña con violín et Why, deux confessions musicales où mémoire, tendresse et filiation se déposent sur les touches comme des larmes retenues. • Avec Tierra Mía et Cerca y Lejos, Harold sculpte un diptyque d’horizon et de racines : l’un parle de la terre, l’autre de l’air ; l’un se souvient, l’autre s’élance. • Capullito de Alelí, capté lors d’un concert familial à La Havane, souffle un parfum d’époque, d’enfance et de patio ensoleillé. • Bacalao con pan, l’hymne d’Irakere, ravive la flamme du nouveau jazz cubain, celle qui a bouleversé le monde et inspiré toute une génération. • Carousel, par El Comité , tourbillonne sous la trompette d’Ibrahim Maalouf, souvenance d’une amitié, d’un studio, d’un instant suspendu. • Puis surgit le temp d'un extrait, le souffle profond de Autumn Leaves, interprété par Michel Petrucciani et Eddy Louiss, un duo où la musique respire à deux voix, à deux souffles, à deux âmes. • Enfin, New Day , dans sa version originelle, referme l’émission comme un lever du jour sur l’océan — là où tout recommence, là où tout s’éclaire. Ce soir, Cubop sous les étoiles vous offre un carnet de route musical, un carnet de vie presque, où Harold López-Nussa déroule les fils invisibles de sa création : l’héritage, la transmission, l’exil lumineux, et ces instants qui changent une trajectoire. Une heure intime, traversée d’émotions, de récits, de nuits cubaines et de matins toulousains.Une heure pour écouter comment, dans ce Nueva Timba, un homme raconte son chemin — entre ce qu’il a quitté, ce qu’il aime, et ce qui vient. Et très bientôt, vous pourrez retrouver ici l’intégralité de l’interview — pour prolonger le voyage, approfondir la découverte, et entrer encore un peu plus dans l’univers lumineux d’Harold López-Nussa.