C’est pas du luxe est un podcast conçu par les Echos Week-End et So good, qui explore les territoires de la mode, de la beauté, de la gastronomie, du tourisme ou comment inventer un luxe responsable.
Créateurs, entrepreneurs, chefs, viticulteurs, à travers le parcours et la parole de personnalités engagées et positives, C’est pas du luxe présente les bonnes idées et solutions qui émergent en France et dans le monde. Comment remettre au centre de la réflexion, l’humain, la créativité, les savoir-faire, le « made in » ?
Comment muter vers une croissance raisonnée et éthique ? Le luxe, machine à rêves, pilier de l’économie et de la culture internationales a valeur d’exemple. C’est aujourd’hui, un passionnant laboratoire sur les problématiques contemporaines : écologie, diversité, inclusion, éthique.
C’est pas du luxe est un podcast animé par le journaliste Pierre d’Almeida et proposé par LVMH.
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C’est pas du luxe est un podcast conçu par les Echos Week-End et So good, qui explore les territoires de la mode, de la beauté, de la gastronomie, du tourisme ou comment inventer un luxe responsable.
Créateurs, entrepreneurs, chefs, viticulteurs, à travers le parcours et la parole de personnalités engagées et positives, C’est pas du luxe présente les bonnes idées et solutions qui émergent en France et dans le monde. Comment remettre au centre de la réflexion, l’humain, la créativité, les savoir-faire, le « made in » ?
Comment muter vers une croissance raisonnée et éthique ? Le luxe, machine à rêves, pilier de l’économie et de la culture internationales a valeur d’exemple. C’est aujourd’hui, un passionnant laboratoire sur les problématiques contemporaines : écologie, diversité, inclusion, éthique.
C’est pas du luxe est un podcast animé par le journaliste Pierre d’Almeida et proposé par LVMH.
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Depuis qu’il s’est lancé en 2018, le designer suisse fait tout ce qui est en son pouvoir pour minimiser l’impact écologique de sa marque tout en refusant d’être (uniquement) présenté comme « le créateur sustainable ».
Kevin Germanier l’admet volontiers : sa passion pour l’upcycling n’est pas vraiment née d’un souci pour la planète. Encore étudiant en mode à la Central Saint Martins, c’est avant tout parce qu’il n’a pas les moyens d’acheter les mètres de coton nécessaires à la réalisation de ses collections qu’il décide de s’approvisionner en friperies, et de donner une seconde vie à de vieux draps.
Des années plus tard, ce mode de fonctionnement est totalement intégré au fonctionnement de Germanier, sa marque, qui utilise les déchets textiles provenant d’autres maisons pour ses créations, et les brode de perles de verre initialement destinées à l’enfouissement.
Le but : prouver qu’une mode responsable peut être flamboyante.
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