Carnet de recherche. Un podcast de l'Institut des langues et cultures d'Europe, Amérique, Afrique, Asie et Australie (ILCEA4
Carnet de recherche
8 episodes
4 months ago
Gregory Albisson est maître de conférences en Civilisation britannique et des pays du Commonwealth. Après une licence LLCER anglais à l'Université d'Avignon, il est parti un an aux Etats-Unis dans le cadre du programme d'échange Fulbright, où il enseignait le Français à Eisenhower High School à Lawton, Oklahoma, et fait sa première année de Master 1 à Cameron College.C’est dans cette ville alors gangrénée par la criminalité juvénile et les gangs de rue qu’il s’est intéressé à ce phénomène, d’abord pour son Master 2 recherche à l’Université d’Avignon, puis à Wellington, en Nouvelle-Zélande, pour sa thèse, dirigée par Madame la Professeure Francine Tolron.Après s’être intéressé aux dynamiques de réconciliation en Australie et en Nouvelle-Zélande, à l’interaction entre demandes d’asiles, droits fondamentaux et souveraineté des frontières maritimes et aux dynamiques de contrôle et d’influences dans l’Indopacifique, il a réorienté ses recherches sur les questions de solidarités nationales et transnationales en Australie et en Nouvelle-Zélande, deux pays qui comptent les plus hauts taux de bénévoles au monde.Dans ce podcast, il évoquera ses premiers sujets de recherche, ses séjours en Nouvelle-Zélande et les remises en question qu’il a connues en tant que jeune chercheur. Mais surtout, il nous racontera comment un chat, un vélo et une cagnotte ont complètement bouleversé le cours de ses recherches.
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Gregory Albisson est maître de conférences en Civilisation britannique et des pays du Commonwealth. Après une licence LLCER anglais à l'Université d'Avignon, il est parti un an aux Etats-Unis dans le cadre du programme d'échange Fulbright, où il enseignait le Français à Eisenhower High School à Lawton, Oklahoma, et fait sa première année de Master 1 à Cameron College.C’est dans cette ville alors gangrénée par la criminalité juvénile et les gangs de rue qu’il s’est intéressé à ce phénomène, d’abord pour son Master 2 recherche à l’Université d’Avignon, puis à Wellington, en Nouvelle-Zélande, pour sa thèse, dirigée par Madame la Professeure Francine Tolron.Après s’être intéressé aux dynamiques de réconciliation en Australie et en Nouvelle-Zélande, à l’interaction entre demandes d’asiles, droits fondamentaux et souveraineté des frontières maritimes et aux dynamiques de contrôle et d’influences dans l’Indopacifique, il a réorienté ses recherches sur les questions de solidarités nationales et transnationales en Australie et en Nouvelle-Zélande, deux pays qui comptent les plus hauts taux de bénévoles au monde.Dans ce podcast, il évoquera ses premiers sujets de recherche, ses séjours en Nouvelle-Zélande et les remises en question qu’il a connues en tant que jeune chercheur. Mais surtout, il nous racontera comment un chat, un vélo et une cagnotte ont complètement bouleversé le cours de ses recherches.
Episode 6 : Laure Thibonnier sur la censure dans la littérature jeunesse en Russie
Carnet de recherche. Un podcast de l'Institut des langues et cultures d'Europe, Amérique, Afrique, Asie et Australie (ILCEA4
47 minutes 31 seconds
7 months ago
Episode 6 : Laure Thibonnier sur la censure dans la littérature jeunesse en Russie
Laure Thibonnier est maîtresse de conférences à l’université Grenoble Alpes, au sein de l’UFR SoCLE. Elle y assure principalement des cours de grammaire, de traduction et de littérature, en licences LLCER et LEA, ainsi qu’en master. En 2005, elle a soutenu une thèse intitulée Idéal et réalité dans la civilisation russe à travers les œuvres pédagogiques de Nikolaï Novikov et Anton Makarenko. Elle y mettait en perspective l’histoire des idées pédagogiques dans la Russie du dernier tiers du XVIIIe siècle et pendant les deux premières décennies de l’Union soviétique. Elle a ensuite orienté ses recherches vers la littérature russophone, et plus particulièrement la littérature de jeunesse. Depuis une dizaine d’années, elle explore les représentations littéraires du siège de Leningrad. Plus récemment, dans le cadre d’un projet collectif, elle s’est tournée vers les mécanismes de censure à l’œuvre dans le champ littéraire russophone.Dans ce podcast, elle va nous parler de la question de la restriction de l’expression et de la censure dans la littérature jeunesse en Russie, notamment à travers les cas du roman L’été en cravate de pionnier.Création et réalisation : David Crémaux-Bouche et Mariana Dominguez Villaverde (ILCEA4, UGA). Habillage sonore : La Fabrik audio de Florent Mounier.
Carnet de recherche. Un podcast de l'Institut des langues et cultures d'Europe, Amérique, Afrique, Asie et Australie (ILCEA4
Gregory Albisson est maître de conférences en Civilisation britannique et des pays du Commonwealth. Après une licence LLCER anglais à l'Université d'Avignon, il est parti un an aux Etats-Unis dans le cadre du programme d'échange Fulbright, où il enseignait le Français à Eisenhower High School à Lawton, Oklahoma, et fait sa première année de Master 1 à Cameron College.C’est dans cette ville alors gangrénée par la criminalité juvénile et les gangs de rue qu’il s’est intéressé à ce phénomène, d’abord pour son Master 2 recherche à l’Université d’Avignon, puis à Wellington, en Nouvelle-Zélande, pour sa thèse, dirigée par Madame la Professeure Francine Tolron.Après s’être intéressé aux dynamiques de réconciliation en Australie et en Nouvelle-Zélande, à l’interaction entre demandes d’asiles, droits fondamentaux et souveraineté des frontières maritimes et aux dynamiques de contrôle et d’influences dans l’Indopacifique, il a réorienté ses recherches sur les questions de solidarités nationales et transnationales en Australie et en Nouvelle-Zélande, deux pays qui comptent les plus hauts taux de bénévoles au monde.Dans ce podcast, il évoquera ses premiers sujets de recherche, ses séjours en Nouvelle-Zélande et les remises en question qu’il a connues en tant que jeune chercheur. Mais surtout, il nous racontera comment un chat, un vélo et une cagnotte ont complètement bouleversé le cours de ses recherches.