Un calendrier ? Parce que chacun des 365 jours de cette année a son importance. Chaque moment que Dieu nous donne de vivre est précieux.
Avec des extraits de textes de la Bible ? Parce que ce vieux livre est plus actuel qu’il n’y paraît. C’est ce que nous aimerions vous faire découvrir tout au long de l’année 2025.
Même pour moi qui ne connais rien à la religion ? Oui, surtout si on n’y connaît rien ! La Bible, Parole de Dieu, est un livre qui s’adresse à chacun de nous, pour nous proposer une relation vivante avec Jésus Christ.
Vous êtes sûrs que cela va m’apporter quelque chose ? C’est en tout cas ce qu’ont expérimenté de nombreux chrétiens. La Bible leur a apporté ce que personne d’autre ne leur avait apporté : l’espoir !
Quels autres formats sont proposés ? Vous pouvez lire les textes en ligne gratuitement sur editeurbpc.com ou encore télécharger notre application gratuite sur app.labonnesemence.com et si vous préférez le papier, vous pouvez également vous procurer un exemplaire en commandant sur editeurbpc.com.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un calendrier ? Parce que chacun des 365 jours de cette année a son importance. Chaque moment que Dieu nous donne de vivre est précieux.
Avec des extraits de textes de la Bible ? Parce que ce vieux livre est plus actuel qu’il n’y paraît. C’est ce que nous aimerions vous faire découvrir tout au long de l’année 2025.
Même pour moi qui ne connais rien à la religion ? Oui, surtout si on n’y connaît rien ! La Bible, Parole de Dieu, est un livre qui s’adresse à chacun de nous, pour nous proposer une relation vivante avec Jésus Christ.
Vous êtes sûrs que cela va m’apporter quelque chose ? C’est en tout cas ce qu’ont expérimenté de nombreux chrétiens. La Bible leur a apporté ce que personne d’autre ne leur avait apporté : l’espoir !
Quels autres formats sont proposés ? Vous pouvez lire les textes en ligne gratuitement sur editeurbpc.com ou encore télécharger notre application gratuite sur app.labonnesemence.com et si vous préférez le papier, vous pouvez également vous procurer un exemplaire en commandant sur editeurbpc.com.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[Dieu] fait de grandes choses qu’on ne saurait sonder, et des merveilles à ne pouvoir les compter.
Job 9. 10
Un enfant nous est né, un fils nous a été donné, et le gouvernement sera sur son épaule ; on l’appellera : Merveilleux, Conseiller, Dieu fort, Père du siècle, Prince de paix.
Ésaïe 9. 5
Merveilles de Dieu
Le premier verset du jour est une parole prononcée par Job. C’était un croyant fidèle, qui a été durement touché par la perte de ses biens, de ses enfants et de sa santé. Il a accepté cette épreuve de la main de Dieu, mais il a sombré dans un profond désespoir. Tout au long du livre de Job, la création de Dieu est mise en évidence : ces merveilles de la nature que nous contemplons encore aujourd’hui avec respect et émotion. Job va alors prendre conscience de la grandeur du Créateur et en même temps de sa propre petitesse, en disant : “J’ai donc parlé, et sans comprendre, de choses trop merveilleuses pour moi… Mon oreille avait entendu parler de toi, maintenant mon œil t’a vu : c’est pourquoi j’ai horreur de moi, et je me repens dans la poussière et dans la cendre” (Job 42. 3-6).
Autrefois, Dieu avait délivré le peuple d’Israël de l’oppression de l’Égypte, en lui faisant franchir la mer Rouge à sec. En y repensant, le poète s’exclame : “Toi, tu es le Dieu qui fais des merveilles… tu as racheté par ton bras ton peuple” (Psaume 77. 15-16). Cette délivrance temporelle était encore une merveille de Dieu !
Plus tard, le prophète Ésaïe annonce la venue du Messie (2e verset du jour). Le premier nom qui lui est donné est : “Merveilleux”. Tout est merveilleux dans la personne et dans l’œuvre de Jésus : l’humble naissance du Fils de Dieu, sa vie d’homme parfait, son sacrifice à la croix, sa résurrection, son élévation au ciel. Tous ceux qui s’approchent de Dieu par lui ne peuvent que s’émerveiller de cet amour divin que Jésus est venu révéler !
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quel profit y aura-t-il pour un homme s’il gagne le monde entier, mais qu’il fasse la perte de son âme ? ou que donnera un homme en échange de son âme ?
Matthieu 16. 26
Le devenir de notre âme
Lors d’une discussion amicale, nous avons abordé le sujet du devenir de notre corps après la mort. L’une disait qu’elle voudrait un cercueil peu coûteux, l’autre affirmait qu’elle souhaitait que son corps soit incinéré, tandis que la dernière partageait son désir de voir ses cendres utilisées pour faire pousser un arbre. Elles avaient déjà bien réfléchi au devenir de leur corps après la mort… Mais elles oubliaient et négligeaient le plus important : le devenir de leur âme.
La Bible affirme que l’existence de l’âme, la partie immatérielle de notre être, n’est pas un mythe ; cette existence se poursuit quand notre corps s’éteint. Comparée à l’éternité, notre vie sur la terre ne dure qu’une fraction de seconde. La mort est la simple transition entre ces deux états. C’est maintenant que des décisions aux conséquences éternelles doivent se prendre.
Alors ne regardons pas seulement à court terme, comme nous le faisons bien trop souvent : investissons pour l’éternité ! Jésus nous dit dans l’évangile : “Qui croit au Fils [de Dieu] a la vie éternelle”, mais celui qui refuse de croire “ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui” (Jean 3. 36). Celui qui nous a créés nous offre le choix de le croire. Dieu désire plus que tout que nous soyons en paix avec lui pour toujours. Il a donné une solution : par amour, son Fils a été puni à notre place pour nos mauvaises actions et les mauvaises pensées qui nous séparaient de lui.
Il ne tient qu’à nous de passer l’éternité dans le bonheur de sa présence. Occupons-nous du devenir de notre âme !
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y avait à Joppé une femme disciple appelée Tabitha… elle abondait en bonnes œuvres et en aumônes.
Actes 9. 36
Veillons les uns sur les autres pour nous stimuler à l’amour et aux bonnes œuvres.
Hébreux 10. 24
Tabitha – disciple de Jésus (6)
Lecture proposée : Actes 9. 36-41
Couturière, elle avait mis ce talent au service du Seigneur pour confectionner des vêtements. Certes, cette compétence était fréquente à l’époque, mais Tabitha, par son caractère de “disciple”, en donne une valeur particulière. Être disciple de Jésus transforme sa vie. La foi commence par la communion personnelle avec Dieu. Ensuite elle s’exprime dans le service envers les autres : “N’aimons pas en paroles… mais en action et en vérité” (1 Jean 3. 18). Comme son maître, Tabitha veut prendre soin de ses semblables. Elle veut rendre sa vie aussi utile que possible. Et pour cela, elle utilise ce qui est à sa portée, ses compétences manuelles, pour soutenir les veuves démunies.
Tabitha faisait beaucoup de bien. Elle était “riche en bonnes œuvres” et “prompte à donner” (voir 1 Timothée 6. 18). Elle ne cherchait ni gloire ni reconnaissance, simplement à être utile. Ceux qui ont bénéficié de son travail en savaient l’importance. Après son décès, toutes les veuves montrent à Pierre les vêtements qu’elle leur avait confectionnés.
Dieu nous demande de mettre à sa disposition ce que nous avons. Il avait demandé à Moïse : “Qu’est-ce que tu as dans ta main ?” (Exode 4. 2). À cette question, Tabitha aurait peut-être répondu : “Une aiguille et du fil, Seigneur.”
Et toi, que tiens-tu dans la main ? Es-tu prêt(e) à le mettre à la disposition du Seigneur ? Réfléchis à ce que tu possèdes et consacre-le au service de Dieu et de ton prochain.
(fin)
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Jésus dit :) Comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous l’un l’autre.
Jean 13. 34
L’amour de Dieu est versé dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné.
Romains 5. 5
J’ai réussi mon divorce
Cette déclaration accompagne, dans un magazine, la photo d’une animatrice de télévision souriante. Même positivement affirmée, elle ne peut faire oublier qu’un divorce est une forme d’échec du mariage, devant les hommes et devant Dieu. Car la Bible déclare : “Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare pas” (Marc 10. 9). C’est donc un engagement pris pour la vie qui n’a pas été tenu. Un mariage inscrit dans la durée est plus heureux qu’un divorce, même si le divorce se passe en apparence sans difficultés. De plus, bien souvent, c’est l’un des conjoints qui choisit cette rupture, mais est-ce une “réussite” pour celui qui la subit, ou pour les enfants s’ils en ont ?
Et pourtant, près de la moitié des mariages se terminent de cette façon aujourd’hui dans les pays européens. Qu’est-ce qui empêche de nombreux couples d’être heureux dans la durée ? La raison donnée le plus souvent est : “On ne s’aimait plus”, comme si c’était une fatalité contre laquelle il n’y a aucune action possible, aucun remède. C’est le reflet de l’égoïsme humain.
Dieu, dans la Bible, demande aux couples de s’aimer avec tendresse, de se porter honneur, de s’aider, de se respecter et de se faire confiance. Pourtant, nous savons tous que l’amour humain a tendance à se refroidir avec le temps qui passe. Mais Dieu veut nous communiquer les caractères de son amour à lui. L’amour de Dieu ne se fatigue jamais, il se donne sans attendre de contrepartie. Dieu nous aime tels que nous sommes, et il désire que nous aimions notre mari, notre femme, comme Lui nous aime, dans la durée et la fidélité.
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Soyez réconciliés avec Dieu !
2 Corinthiens 5. 20
Car Dieu parle une fois, et deux fois – et l’on n’y prend pas garde.
Job 33. 14
Titanic et Titan
Prendre garde aux avertissements de Dieu
Juin 2023. 111 ans après le naufrage du célèbre paquebot Titanic, heurtant un iceberg lors de sa traversée inaugurale, le submersible Titan implose accidentellement lors d’une plongée. Il devait emmener ses passagers au plus près de l’épave du Titanic. Aucun d’entre eux n’a survécu.
Deux drames, deux similitudes : les signaux d’alerte avaient été négligés. Bien qu’ayant été averti de la présence d’un champ de glace sur sa route, le capitaine du Titanic a foncé à pleine vapeur au travers d’une nuit sans lune (les radars n’existant pas à l’époque, la détection se faisait à l’aide de jumelles, qui étaient introuvables). Le Titan, lui, est parti malgré les craintes exprimées par de nombreux experts au sujet d’innovations trop expérimentales.
Et dans notre vie, que faisons-nous ? Il y a un avertissement qui, s’il est négligé, peut coûter plus cher encore que la vie terrestre : celui qui presse l’homme de se réconcilier avec son Créateur. Si la technologie évolue pour la sécurité des humains, le cœur de l’homme reste le même : pécheur, condamné à souffrir, séparé pour toujours de son Dieu créateur. Mais Dieu a tout fait pour nous épargner cette terrible condamnation : “Il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16). Il suffit de prendre cet avertissement au mot pour être définitivement sauvé. L’avons-nous fait ?
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Jésus dit :) Les paroles que moi je vous ai dites sont esprit et sont vie.
Jean 6. 63
Que la parole du Christ habite en vous richement.
Colossiens 3. 16
La Bible, notre référence
De toutes les aides données au chrétien, la plus importante est la Parole de Dieu. Lisons notre Bible, et lisons-la bien. Donnons-lui la première place dans nos occupations, qu’elle ait la priorité même par rapport à des commentaires ou des vidéos qui s’y réfèrent. Utilisons tous les supports, papier ou écrans, qui nous permettent sa lecture en tout temps et en tout lieu. Essayons aussi de la mémoriser.
Nous comprenons la Bible, si nous la lisons en priant et en comptant sur l’aide du Saint Esprit qui anime tout croyant. Il ne s’agit pas de lire seulement les textes qui nous plaisent, mais de suivre tout son enseignement pour en retenir le sens dans le détail et dans sa globalité. Ne nous pressons pas de finir notre chapitre pour passer à autre chose, quitte à n’en avoir rien retenu. Prenons le temps de lire cette Parole vivante de manière à la comprendre et de nous en imprégner.
Nous constatons parfois qu’un texte biblique répond exactement à un questionnement dans notre vie. D’autres fois, ce n’est pas le cas. La Bible n’est pas là pour nous donner les solutions concrètes à toutes nos difficultés, mais pour nous aider à les traverser et les résoudre avec Dieu. La lecture de ce Livre, guidée par l’Esprit de Dieu, forme nos pensées pour savoir quelle direction prendre. “Ta parole est une lampe à mon pied, et une lumière sur mon sentier”, dit l’auteur du psaume 119 (v. 105). Une lampe à nos pieds ne dévoile pas tout le chemin, mais donne suffisamment de lumière pour assurer notre marche un pas après l’autre. Que la Bible soit notre lampe !
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L’Éternel Dieu forma l’homme, poussière du sol, puis souffla dans ses narines une respiration de vie.
Genèse 2. 7
La poussière retourne à la terre, comme elle y avait été, et… l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné.
Ecclésiaste 12. 7
Sa dernière demeure
Il était bien connu dans le village… Le cortège funèbre le conduit, selon la formule consacrée, jusqu’à “sa dernière demeure”. Mais s’agit-il du tombeau dans lequel on va déposer son cercueil ? Le défunt n’est-il plus qu’un corps privé de vie ?
La Bible déclare que chaque être humain est composé d’une partie matérielle, son corps, et d’une partie immatérielle, son esprit. Le verset ci-dessus nous dit qu’à la mort, le corps “retourne à la terre”, redevient poussière. Cependant l’esprit ne cesse pas d’exister, il quitte le corps et “retourne à Dieu”. Jusqu’à la résurrection, l’esprit du croyant décédé est dans la présence de Jésus. Quant à l’incroyant, il est dans les tourments, loin de Dieu (Luc 16. 22-23 ; 23. 43).
Ensuite tous les humains ressusciteront, le corps rejoignant l’esprit. “Il y aura une résurrection tant des justes que des injustes” (Actes 24. 15). Notre dernière demeure n’est donc pas la tombe où notre corps est déposé. Elle se détermine pendant notre vie, selon que nous avons refusé ou accepté de croire en Jésus :
– L’incroyant, qualifié “d’injuste” parce qu’il n’a pas accepté Jésus comme le Sauveur qui pardonne ses péchés, connaîtra la “résurrection de jugement” (Jean 5. 29). Sa dernière demeure est un lieu tragique marqué par la souffrance et l’éloignement éternel de Dieu.
– Le croyant, qualifié de “juste” parce que tous ses péchés sont effacés par le sang de Christ, connaîtra la “résurrection de vie”. Sa dernière demeure est la maison du Père, dans un bonheur éternel en compagnie de Jésus.
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jésus lui déclara : Moi, je suis la résurrection et la vie : celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et quiconque vit et croit en moi, ne mourra pas, à jamais. Crois-tu cela ?
Jean 11. 25-26
Situation sous contrôle
Lecture proposée : Jean 11. 1-44
Lazare est malade, et ses sœurs envoient un message pour informer Jésus, l’ami de la famille. Une fois Jésus prévenu, elles sont certaines qu’il va accourir et le guérir. N’a-t-il pas dit : “Cette maladie n’est pas pour la mort” ? Or Jésus n’agit pas du tout comme elles le pensent. Il tarde, la maladie empire, et Lazare meurt. Quelle consternation ! Mais aussi, quel désarroi dans le cœur des deux sœurs ! Jésus les a déçues, il semble avoir négligé leur message plein de foi !
Quand il arrive enfin, il ne présente ni excuse, ni explication. Mais sa manière d’agir prouve qu’il ne les a pas oubliées ! La situation était “sous contrôle”. Marthe et Marie ont eu raison de compter sur lui. Mais on ne dicte pas à Jésus ce qu’il doit faire. Le Fils de Dieu maîtrise les circonstances. Il a des ressources là où les humains n’en ont plus aucune. Et il ressuscite Lazare.
Ami chrétien, tu es peut-être inquiet pour un proche qui est malade. Tu en as parlé au Seigneur, et cela t’a apaisé. Pourtant, Jésus n’agit pas comme tu l’espérais, et la mort intervient. Mais la mort n’est pas une fin pour un chrétien. Lorsque le Seigneur viendra chercher tous les siens, il appellera hors de la tombe l’être cher que tu as perdu. La résurrection des croyants sera la démonstration de sa victoire définitive sur la mort.
Il déclare : “Lazare est mort… allons vers lui”. Il allait au-devant d’un homme qu’il allait ressusciter. C’est nous qui allons vers nos bien-aimés croyants, “endormis par Jésus” (1 Thessaloniciens 4. 14). Leur résurrection est certaine, elle approche, pour notre consolation.
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ne vous tournez pas vers ceux qui évoquent les esprits, ni vers les diseurs de bonne aventure ; n’ayez pas recours à eux pour vous rendre impurs. Moi, je suis l’Éternel, votre Dieu.
Lévitique 19. 31
Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie… par de vaines tromperies.
Colossiens 2. 8
Superstition
La superstition consiste à croire que certains actes, signes ou objets entraînent mystérieusement des conséquences bonnes ou mauvaises. Elle se présente sous des formes très diverses. Ainsi certains craignent de passer sous une échelle, croisent les doigts, “touchent du bois” pour que les circonstances leur soient favorables, ou attachent une importance irrationnelle au nombre 13. D’autres lisent l’horoscope ou se tournent vers l’astrologie, la magie noire, la divination ou la sorcellerie. Certains pratiquent ces choses sans y croire vraiment, “au cas où”, d’autres le font avec une grande conviction.
La Bible condamne clairement ces pratiques, qui peuvent paraître attrayantes par leur aspect surnaturel ou bénéfique, mais qui sont très dangereuses, car elles ouvrent la porte à l’influence du diable, qui s’en sert pour éloigner les hommes de Dieu. Elle est comparable à de l’idolâtrie. L’apôtre Pierre nous avertit très sérieusement : “Soyez sobres, veillez : votre adversaire, le diable, comme un lion rugissant, rôde autour de vous, cherchant qui dévorer” (1 Pierre 5. 8).
Que devons-nous faire en tant que chrétiens ? Ne jamais nous intéresser, même de loin, au domaine de l’occulte. Supprimer de notre vocabulaire ces formules superstitieuses en apparence inoffensives, mais dont la signification est grave. Notre foi ne dépend pas de rituels humains, mais du seul vrai Dieu qui nous a donné la vie éternelle. Notre foi repose sur lui seul. “Sur Dieu seul mon âme se repose paisiblement ; de lui vient mon salut (ou ma délivrance)” (Psaume 62. 2).
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Honore l’Éternel de tes biens et des prémices de tout ton revenu.
Proverbes 3. 9
Qui donne au pauvre ne manquera de rien.
Proverbes 28. 27
La veuve qui donne tout ce qu’elle a (5)
Lecture proposée : Marc 12. 41-44
Jésus est assis dans le temple, en face du Trésor (le coffre des offrandes). Il observe les gens qui y mettent de l’argent, et constate que plusieurs riches donnent beaucoup. Soudain, une veuve pauvre s’approche, et apporte les deux seules petites pièces qu’elle possède…
Jésus appelle ses disciples et leur explique que cette veuve a donné plus que tous les autres. Son geste prouve non seulement son amour pour Dieu, mais aussi sa foi en lui pour subvenir à ses besoins. Ses deux petites pièces ont dû passer inaperçues face aux offrandes des riches. Inaperçues des hommes, oui, mais pas de Jésus ! Il sait qu’elle a donné “tout ce qu’elle avait pour vivre”. Et c’est cela qui est précieux pour lui. Le montant du don est accessoire.
Jésus n’ordonne pas aux disciples d’en faire autant, car la générosité ne peut être imposée. Il leur signale simplement le comportement exemplaire de cette femme : contrairement aux riches, elle, qui était dans le dénuement, a donné à Dieu tout ce qu’elle possédait.
Le Seigneur voit encore aujourd’hui combien nous donnons, mais surtout – et c’est encore plus significatif – combien nous gardons pour nous ! Le vrai sacrifice est celui qui coûte réellement à celui qui consent à le faire.
“N’as-tu pas promis, Seigneur, de répondre aux besoins de ceux qui cherchent d’abord ton royaume et ta justice ? (Matthieu 6. 33). Aide-moi à savoir donner davantage pour ton service, et à compter sur toi pour l’avenir.”
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Qui use de grâce envers le pauvre prête à l’Éternel, et il lui rendra son bienfait.
Proverbes 19. 17
… Que tu partages ton pain avec celui qui a faim.
Ésaïe 58. 7
Une histoire de fromage
Dans son livre “Prisonnier… mais libre”, le chrétien alsacien Marcel Saltzmann raconte ce qu’il a vécu. Lors de la Deuxième Guerre mondiale, pendant l’occupation allemande, il refusait d’utiliser le salut nazi, préférant celui employé en Allemagne : “Grüss Gott”, c’est-à-dire : “Que Dieu vous salue”. Il fut plusieurs fois interrogé par la Gestapo, on essaya de l’intimider, puis il fut déporté avec son épouse.
Emprisonnés dans un camp, ils furent en contact avec une femme malade et affamée. L’épouse de Saltzmann confia à son mari qu’elle avait emporté de leur domicile, au moment de leur arrestation, un petit fromage qu’elle avait encore avec elle. C’était pour eux une réserve de nourriture, mais estimant que Jésus aurait fait ainsi, ils le donnèrent à la femme affaiblie qui les remercia chaleureusement.
Quelques jours plus tard, le camp reçut la visite d’une personne qui les questionna sur leur vie en déportation. Tout en parlant, ce visiteur vint se placer tout près de Marcel et se pressa fortement contre son côté. Que voulait-il donc ? Lorsqu’il fut parti, Marcel s’aperçut qu’il y avait un paquet dans sa poche. Devinez ce qu’il contenait : un fromage ! Un fromage trois fois plus gros et bien meilleur que celui qu’ils avaient donné à la femme malade. Ils prirent ce cadeau comme venant de Dieu lui-même. Un ange les avait-il visités ? En tout cas, Dieu n’oublie pas les siens. “Quiconque aura donné à boire seulement un verre d’eau fraîche à l’un de ces petits,… en vérité, je vous dis : il ne perdra pas sa récompense” (Matthieu 10. 42).
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nos regards n’étant pas fixés sur ce qui se voit, mais sur ce qui ne se voit pas : car les choses qui se voient sont temporaires, mais celles qui ne se voient pas sont éternelles.
2 Corinthiens 4. 18
Un autre monde
Il y a bientôt 50 ans, André Frossard, auteur chrétien, publiait un livre intitulé : “Il y a un autre monde”. Ce titre nous invite à réfléchir. Notre société matérialiste tend à limiter l’horizon des hommes d’aujourd’hui au monde concret et visible.
“Je ne crois que ce que je vois” reste le mot d’ordre de beaucoup. Or le titre du livre d’André Frossard affirme qu’au delà de la scène visible et matérielle, existe un autre monde qui échappe totalement à nos sens. En plus, dans le verset du jour, la Bible dit que le domaine de l’invisible est beaucoup plus important que le monde visible. Il devrait mobiliser bien davantage notre attention et notre intérêt que le monde visible qui n’est que transitoire.
Quelqu’un dira : “Comment puis-je percevoir un monde que je ne vois pas ?”
En effet, si nos sens sont incapables de discerner l’invisible, la foi, elle, le saisit. Le monde invisible est le grand thème de la Bible qui est la parole même de Dieu. Aussi la foi ne croit pas n’importe quoi et n’est pas menée par l’imagination ; elle fait confiance à Dieu et s’appuie sur ce qu’il dit de lui-même dans sa Parole. Le Dieu invisible s’est révélé sous la forme d’un homme : Jésus Christ. Il est venu manifester sur la terre la sainteté infinie et l’amour de Dieu envers chacun. Jésus nous ouvre un monde autre que celui du visible. Chacun est invité à y entrer. Jésus est mort sur une croix pour nous. Alors il a effacé ce qui nous sépare de Dieu, c’est-à-dire le mal qui est en nous, autrement dit, le péché. Le croyez-vous ?
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C’est pour ceci que le Fils de Dieu a été manifesté : pour qu’il détruise les œuvres du diable.
1 Jean 3. 8
Le monde s’en va, lui et sa convoitise, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement.
1 Jean 2. 17
Le monde et son chef
Dieu a placé l’humanité dans un univers propice à la vie, il a mis à sa disposition des richesses insoupçonnées pour sa nourriture, son confort, son bonheur. Comment expliquer la misère qui l’assujettit depuis des millénaires ? Pourquoi dans les pays riches, avec les progrès techniques, médicaux et sociaux, y a-t-il autant de lassitude, de mécontentement, de conflits ?
Un jour, notre monde (l’humanité) a changé de chef. Il a préféré écouter la voix de Satan plutôt que celle de Dieu. Séduit par “le menteur”, il est devenu esclave de son orgueil et de sa violence. C’est dans ce contexte que Jésus est venu visiter l’humanité. Dès sa naissance il a été rejeté. Hérode, poussé par Satan, a fait tuer tous les garçons de moins de deux ans, pensant éliminer l’enfant Jésus (Matthieu 2. 16). La présence de Jésus montrait que Satan menait le monde. Jésus l’appelle “le chef de ce monde” (Jean 12. 31).
Poussé par son chef, le meurtrier, ce monde n’a su ensuite que crucifier le Fils de Dieu. Mais par sa mort Jésus a rendu “impuissant celui qui avait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable” (Hébreux 2. 14). Il a vaincu Satan, et il délivre tous ceux qui croient en Lui. Le chrétien peut le constater tous les jours, en se rappelant aussi que ce monde dirigé par Satan a crucifié le Fils de Dieu ; il désire alors s’éloigner de ses sollicitations.
Aujourd’hui Dieu aime toujours les humains : il “a tant aimé le monde (l’ensemble de l’humanité) qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle” (Jean 3. 16).
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Celui (Jean) qui l’a vu rend témoignage… Car tout cela arriva afin que soit accomplie l’Écriture : “Pas un de ses os ne sera cassé”. Et encore une autre Écriture dit : “Ils regarderont vers celui qu’ils ont percé”.
Jean 19. 35-37
Les soldats romains accomplissent les prophéties (2)
Dans son récit de la crucifixion, Jean rappelle que les soldats crucifièrent Jésus “et avec lui deux autres, un de chaque côté, et Jésus au milieu” (Jean 19. 18). Il poursuit la description de cette scène terrible : un peu plus tard, “les soldats vinrent et brisèrent les jambes du premier, puis de l’autre qui était crucifié avec lui. Une fois venus à Jésus, quand ils virent qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes ; mais l’un des soldats lui perça le côté avec une lance ; et aussitôt il en sortit du sang et de l’eau” (Jean 19. 32-34).
Briser les jambes permettait d’accélérer la mort des condamnés après les souffrances atroces de la crucifixion. Mais ce n’était pas nécessaire pour Jésus, qui était déjà mort. Pourquoi alors ce soldat a-t-il percé son côté d’un coup de lance ? Est-ce un geste de haine ou de défi ? Aucune explication n’est donnée sur les motivations de cet acte gratuit de méchanceté. Mais Jean indique (texte du jour) que deux prophéties distinctes de l’Ancien Testament ont été accomplies : Psaume 34. 21 et Zacharie 12. 10. Il fallait que le sang coule du corps mort de Jésus, pour que celui qui croit en lui soit purifié de tous ses péchés (1 Jean 1. 7).
Ainsi ce soldat romain, sans le savoir, a accompli ce que Dieu avait dit à l’avance. Dieu utilise qui il veut pour accomplir ce qu’il a dit. Il a veillé avec soin à ce que tout ce qu’il avait annoncé au sujet de son Fils s’accomplisse dans les moindres détails. De la même manière il fera que tout ce qui doit encore arriver et qui est annoncé dans sa Parole se réalise.
(fin)
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ils partagent entre eux mes vêtements, et sur ma robe ils jettent le sort.
Psaume 22. 19
Tout cela a été écrit afin que vous croyiez que Jésus est le Christ, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie par son nom.
Jean 20. 31
Les soldats romains accomplissent les prophéties (1)
Plusieurs circonstances précises de la vie de Jésus étaient mentionnées des siècles à l’avance dans l’Ancien Testament, première partie de la Bible. Ces prophéties nous permettent de reconnaître en Jésus le Messie, l’envoyé de Dieu annoncé dans les Écritures.
Parmi ces prophéties, certaines ont été accomplies par les soldats de l’armée romaine, au moment de la crucifixion de Jésus. Jean, témoin oculaire à proximité de la croix, décrit cette scène : “Les soldats, quand ils eurent crucifié Jésus, prirent ses vêtements et en firent quatre parts, une part pour chaque soldat. Ils prirent aussi la tunique. Or la tunique était sans couture, tissée tout d’une pièce depuis le haut. Ils dirent donc entre eux : Ne la déchirons pas, mais tirons au sort pour savoir à qui elle sera… Les soldats donc firent ces choses” (Jean 19. 23-24).
Or, c’est exactement ce qui était écrit au psaume 22 (verset du jour). Ce psaume de David, écrit près de mille ans avant, donne de remarquables précisions sur la mort du Messie sur la croix. Lorsque Jean rédige son évangile, il cite ce psaume 22 avec ce commentaire : “afin que soit accomplie l’Écriture” (Jean 19. 24).
Ces soldats romains ignoraient tout de ces écrits prophétiques appartenant au peuple juif dont ils occupaient le territoire, mais sans le savoir ils les ont pourtant réalisés. Dieu avait indiqué à l’avance les conditions de la mort de son Fils Jésus Christ. L’accomplissement des Écritures montre de manière évidente que Jésus est bien celui qui était annoncé.
(à suivre)
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ô Dieu ! tu ne mépriseras pas un cœur brisé et humilié.
Psaume 51. 19
Tu as entendu la voix de mes supplications, quand j’ai crié à toi.
Psaume 31. 23
Job et sa femme
Job traverse de terribles épreuves : il perd en un jour toutes ses richesses et ses dix enfants. Jusque-là il n’exprime aucune révolte envers Dieu, il se soumet malgré son immense détresse.
Il est ensuite atteint d’un ulcère, de la tête aux pieds. Depuis le début de cette histoire, Satan veut pousser Job à abandonner sa confiance en Dieu. La femme de Job l’incite alors à maudire Dieu et à mourir. Job répond d’une manière remarquable. Il ne la traite pas d’insensée, mais lui fait remarquer qu’elle s’exprime comme ceux qui ne connaissent pas Dieu (Job 2. 9-10). Car “l’insensé a dit en son cœur : il n’y a pas de Dieu” (Psaume 53. 2). Sans doute ne supporte-t-elle pas de voir son mari souffrir, et elle lui reproche de rester ferme dans son intégrité. Job, lui, considère que Dieu est souverain, qu’il peut donner le bien mais aussi permettre le mal. Et la souffrance risque de susciter naturellement de la rébellion contre Dieu.
La foi de Job n’est pas superficielle : elle repose sur une vraie relation personnelle avec Dieu. Il fait confiance à son amour et à sa sagesse, même dans ces moments si douloureux.
De quelle nature est notre foi ? Croyons-nous simplement à l’existence de Dieu ? Au jour de l’épreuve, nous risquons bien de nous révolter contre un Dieu que nous ne connaissons pas vraiment. Comme Job et tant d’autres croyants, vivons dans une vraie intimité avec Dieu ! Alors nous pourrons continuer à lui faire confiance, même dans nos situations douloureuses.
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si je touche, ne serait-ce que ses vêtements, je serai guérie.
Marc 5. 28
Si, de ta bouche, tu reconnais Jésus comme Seigneur, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé.
Romains 10. 9
Celle qui touche le vêtement de Jésus (4)
Lecture proposée : Marc 5. 25-34
Une grande foule suit Jésus. Soudain, il s’arrête et demande : “Qui a touché mes vêtements ?” Question surprenante, alors qu’il est au milieu d’une foule compacte. Mais Jésus sait que quelqu’un l’a touché avec foi, car de la puissance est sortie de lui.
En effet, une femme malade depuis 12 ans, dans la honte et l’exclusion, s’est approchée de lui. Elle qui, selon la Loi, n’avait le droit de toucher personne, était certaine qu’il pourrait la guérir sans même la toucher : “Si je touche, ne serait-ce que ses vêtements, je serai guérie”. Elle ne se trompait pas. Dès qu’elle touche le vêtement de Jésus, sa maladie disparaît.
Alors, elle se jette devant lui et lui dit la vérité. Jésus lui répond : “Ma fille, ta foi t’a guérie ; va en paix, et sois guérie de ton mal”. Elle a cru en la puissance et en l’amour de Jésus pour la guérir, mais elle voulait guérir sans se faire connaître. Jésus veut que sa foi et sa guérison soient visibles, il lui demande d’en être témoin publiquement.
Le Seigneur est toujours accessible, prêt à être contacté, à répondre à la foi. Quelle que soit notre peine, osons tendre la main vers lui ! Une courte prière suffit. Ne remettons pas cela à plus tard. Au lieu de lutter contre nos difficultés, venons à Jésus pour recevoir son pardon, sa grâce et sa délivrance. Et témoignons autour de nous de ce que Jésus a fait pour nous.
“Seigneur, aide-moi à me tourner vers toi, à te confier mes difficultés et à trouver par la foi le chemin jusqu’à toi.”
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dieu opère toutes ces choses deux fois, trois fois, avec l’homme, pour détourner son âme de la tombe, pour qu’il soit illuminé de la lumière des vivants.
Job 33. 29-30
Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs.
Hébreux 3. 15
Dieu parle une fois, deux fois…
Il y a quelques années, j’ai eu un échange sur la foi chrétienne avec une collègue qui se posait beaucoup de questions. Je lui ai offert une Bible dans sa langue maternelle, en l’invitant à lire premièrement l’évangile selon Jean. Après plusieurs contacts, sa réflexion s’est approfondie, et elle m’a rappelé les faits suivants :
“Une personne âgée de ma famille m’avait confié sa Bible quand j’étais encore une enfant. Mais je ne l’ai pas regardée.
Plus tard, ma mère m’a inscrite à une colonie de vacances. Voilà que c’était un camp chrétien ! J’ai voulu rentrer immédiatement chez moi. Mais comme on ne m’a pas trop sollicitée pour les activités chrétiennes, je suis restée. Et à la fin, encore une Bible !
Ensuite, nous voilà gardées providentiellement avec ma mère d’un grave accident de train qui a fait plusieurs victimes. Un contretemps nous avait fait manquer ce train.
Vous savez, ça a déjà toqué trois fois chez moi…”
De toute évidence, Dieu travaillait dans le cœur de cette personne depuis sa jeunesse. Je ne sais pas ce qu’elle est devenue par la suite. Dieu est patient, mais il est dangereux de laisser passer le temps.
C’est ainsi que Dieu frappe à la porte de notre cœur. Il n’est jamais trop tôt pour répondre. Jésus dit : “Si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi” (Apocalypse 3. 20).
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu.
Romains 3. 23
Heureux celui dont la transgression est pardonnée, et dont le péché est couvert !
Psaume 32. 1
Comme un coup de massue fracasse un miroir
Le péché : ce terme a une connotation lourde de sens… Au point qu’on en parle le moins possible de peur de culpabiliser, ou de réduire la foi à une morale, ce qu’elle n’est pas. Pour certaines religions, le péché, c’est l’ignorance, le manque de connaissance ou de sagesse.
Mais dans la vision chrétienne, le péché est bien plus que de l’ignorance ! C’est de l’hostilité et de la défiance envers Celui qui soutient l’univers. C’est une force qui fait des ravages ; c’est la cause première de toute famille brisée, de toute guerre destructrice, de tout conflit haineux. Il se répand à travers les générations comme une tumeur maligne, et il dévaste les civilisations comme la peste. Comme un coup de massue fracasse un miroir, le péché fait voler en éclats l’image parfaite de l’humanité lors de sa création.
Il ne suffit pas de faire quelques bonnes actions, ni de nous appliquer à suivre un bon enseignement pour remettre en place les morceaux brisés de notre âme. Il faut un acte divin pour nous restaurer.
Nous ne pouvons pas réparer le miroir brisé. Mais Dieu, lui, crée un nouveau miroir pour chacun de ceux qui reconnaissent leurs péchés et font confiance à Jésus pour être pardonnés. C’est pour cela que le Fils de Dieu est venu sur notre terre de souffrance et de mort. Il est mort pour briser la puissance du péché. Il est ressuscité, lui le Prince de la vie, pour nous donner une vie nouvelle qui s’exprime par l’amour, le pardon et le désir de justice et de paix.
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quoi que vous fassiez, faites-le de cœur, comme pour le Seigneur et non pour les hommes, sachant que du Seigneur vous recevrez la récompense de l’héritage : c’est le Seigneur Christ que vous servez.
Colossiens 3. 23-24
Mon chef est toujours là !
Dans une entreprise, un matin, une employée déclare avec le sourire :
– Aujourd’hui, pas de stress : le chef n’est pas là !
– Mon chef est toujours là ! réplique sa collègue, connue pour être chrétienne.
Cette remarque illustre bien le verset ci-dessus. Si nous sommes croyants, nous chercherons à mener nos activités quotidiennes en pensant que notre chef, c’est Jésus Christ. Nous nous efforcerons de le servir fidèlement, avec amour et dévouement, quels que soient notre travail et notre employeur.
On peut remarquer que, dans le verset du jour, Jésus Christ est appelé “le Seigneur”, c’est-à-dire le Maître. Il faut se souvenir que, dans cette lettre aux Colossiens, l’apôtre s’adresse à des serviteurs ou à des esclaves qui avaient souvent des maîtres exigeants et même cruels. Cette parole de Paul n’était pas seulement un rappel à leur devoir, c’était aussi un encouragement à réaliser que c’était au Seigneur Jésus, un bon Maître, qu’ils étaient soumis. Ils pouvaient accomplir le travail pénible qu’on leur imposait, “comme pour le Seigneur”, avec la certitude de recevoir un jour un héritage dans le ciel, dans la présence de Jésus, pour toujours. Quel réconfort pour eux de savoir qu’ils avaient au ciel un Père qui voyait leurs souffrances et qui les aimait tant ! N’avait-il pas envoyé son propre Fils, Jésus Christ, pour les sauver ?
Retrouvez tous nos contenus sur editeurbpc.com
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.