
Section 8: pages 125 à 143
Sommaire:
Enfin, Freeboy arrive à Tamanrasset, en Algérie pour se trouver au ghetto camerounais. Pour lui souhaiter la bienvenu, Chairmo et son Premier Ministre expliquent qu’il vivra en état quasi-esclave et tout qu’il gagne sera remboursé au ghetto pour payer pour tout, même l’eau qu’il utilise. Entre son travail de maçonnerie et taper le salam pour gagner de l’argent Petit Wat gagne assez pour payer le ghetto, mais il cache une partie de son argent pour qu’il puisse voyager à Oran, la prochaine ville de son voyage. Au ghetto de Tamanrasset, les Noirs torturent les Noirs chez les Blancs, les déportés vendent le rêve de boza, et one peut facilement devenir désespéré à cause des conditions sales et indignes. Mais, il y apprend les manières qu’on peut arriver en Europe et ce qu’il lui faudra. Un jour chanceux, au lieu d’argent, Petit Wat et son équipe de maçonnerie sont offerts d’être fait passer par Oran, où il apprend que quand on peut reprendre le souffle, on fait face à la tentation de rester dans cette recréation du quartier et devenir un slackman qui vit en gagnant l’argent facile. Toujours en pensant à son objectif, Petit Wat subit ses tentations pour acheter un portable avec l’argent qu’il aurait utilisé pour continuer son voyage. Son ami du quartier, Papi Oura, l'engueule et Petit Wat retrouve sa rage pour chasser son but: boza.
Discussion: Comment trouver la force de continuer si on est donné l’option de rester après toujours être en état de survie?