
Pour Jean de la Fontaine il est parfois plus sage de faire preuve de souplesse face aux défis de la vie que de résister obstinément et de refuser de céder alors que c’est le meilleur choix
Il l’illustre dans la fable « le chêne et le roseau » de la façon suivante :
Près d’une rivière un chêne était planté près d’un roseau
Quand le vent soufflait le chêne se dressait fièrement tandis que le roseau se courbait
Un jour un vent particulièrement violent redoubla de fureur se mit à souffler. Le chêne tenta de résister mais finit par se briser tandis que le roseau se courba puis se redressa après la bourrasque.