On a parfois tendance à être pessimiste. Non parce que c'est notre nature profonde, mais parce que c'est un mécanisme de défense pour diminuer l'intensité de la déception. On n'a pas le courage d'affronter ce sentiment dans toute sa splendeur, ou alors, on n'a pas le courage de faire tout ce qu'on peut pour que ça se passe bien, quitte à être déçu ensuite. Dans cette deuxième partie, je porterai l'attention sur la partie "apprendre à gérer le meilleur", qui est tout aussi important que "d'apprendre" à tout faire pour ne pas être déçu.e.

On en parle dans cette deuxième partie de cet épisode.

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