
Dans cet épisode d’Après la Thèse, Stéphanie partage un témoignage lucide et bouleversant sur les défis de la santé mentale dans la recherche.
Docteure en écologie, passée par la Guyane et l’Allemagne, elle raconte son parcours académique marqué par la passion… mais aussi par le burnout, la dépression et le silence institutionnel autour de ces sujets.
Aujourd’hui ATER, Stéphanie met des mots sur ce que beaucoup vivent sans oser en parler : la culpabilité de ralentir, la peur d’être jugé, mais aussi la nécessité de demander de l’aide.
Un épisode sincère et essentiel sur la vulnérabilité, la résilience et la place du bien-être mental dans le monde académique.