Les contes bretons sont souvent liés à la mort ! Au-delà du légendaire Ankou, la mort et tout ce qu’elle comporte en elle de terrifiant, de glaciale, de soudain et d'inconnu s’invite dans ces histoires de la tradition orale, presque comme une plante sauvage dans un jardin. Enraciné dans la culture bretonne, la mort est souvent montrée comme une menace que les superstitions tentent de contrôler. Face à elle, on se retrouve très vite en position de proie. Lorsqu’elle nous a vu, plus rien ne sert de courir, plus rien ne sert de se cacher ! Il fallait juste éviter que son regard ne vienne se porter sur nous. Ce mois-ci, j’ai décidé de m’intéresser à deux contes qui traitent ce sujet avec des tons un peu différents. La manière de traiter la mort sera donc différente, mais toutefois, ils se rejoignent à travers une certaine leçon sur les perceptions que l’on peut avoir d’un événement. J’ai décidé de ne pas les réécrire. La première raison est qu’en ce moment, et sans doute durant tout l’été, j’ai pas mal de travail. Et donc un peu moins de temps à consacrer à de l’écriture. La seconde raison, c’est que j’ai aussi voulu vous faire profiter de leurs textes originaux. Enfin, originaux, les contes Bretons où d’ailleurs, vivent et évolué d’une bouche à l’autre. Néanmoins, Anatole Le Braz, qui a récolté les deux contes qui vont suivre, a voulu préserver la pureté de ces histoires qu’on lui a raconté. Et ce, bien qu’il ait dû les traduire du Breton au Français. Je me suis alors dit que c’était une bonne idée si moi aussi, je tentais de préserver cette pureté. Ainsi, ces histoires sont celles d’un homme qui suit un mystérieux prêtre dans la nuit, et celle d’une blague qui tourne mal. Mais je ne vous en dis pas plus, les contes eux-mêmes, s’en chargeront. Musique :Sarabande de Georg Friedrich Haendel et interprété par Joël CumminsDevil's Organ de Jimena Contreras
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Les contes bretons sont souvent liés à la mort ! Au-delà du légendaire Ankou, la mort et tout ce qu’elle comporte en elle de terrifiant, de glaciale, de soudain et d'inconnu s’invite dans ces histoires de la tradition orale, presque comme une plante sauvage dans un jardin. Enraciné dans la culture bretonne, la mort est souvent montrée comme une menace que les superstitions tentent de contrôler. Face à elle, on se retrouve très vite en position de proie. Lorsqu’elle nous a vu, plus rien ne sert de courir, plus rien ne sert de se cacher ! Il fallait juste éviter que son regard ne vienne se porter sur nous. Ce mois-ci, j’ai décidé de m’intéresser à deux contes qui traitent ce sujet avec des tons un peu différents. La manière de traiter la mort sera donc différente, mais toutefois, ils se rejoignent à travers une certaine leçon sur les perceptions que l’on peut avoir d’un événement. J’ai décidé de ne pas les réécrire. La première raison est qu’en ce moment, et sans doute durant tout l’été, j’ai pas mal de travail. Et donc un peu moins de temps à consacrer à de l’écriture. La seconde raison, c’est que j’ai aussi voulu vous faire profiter de leurs textes originaux. Enfin, originaux, les contes Bretons où d’ailleurs, vivent et évolué d’une bouche à l’autre. Néanmoins, Anatole Le Braz, qui a récolté les deux contes qui vont suivre, a voulu préserver la pureté de ces histoires qu’on lui a raconté. Et ce, bien qu’il ait dû les traduire du Breton au Français. Je me suis alors dit que c’était une bonne idée si moi aussi, je tentais de préserver cette pureté. Ainsi, ces histoires sont celles d’un homme qui suit un mystérieux prêtre dans la nuit, et celle d’une blague qui tourne mal. Mais je ne vous en dis pas plus, les contes eux-mêmes, s’en chargeront. Musique :Sarabande de Georg Friedrich Haendel et interprété par Joël CumminsDevil's Organ de Jimena Contreras
Les contes bretons sont souvent liés à la mort ! Au-delà du légendaire Ankou, la mort et tout ce qu’elle comporte en elle de terrifiant, de glaciale, de soudain et d'inconnu s’invite dans ces histoires de la tradition orale, presque comme une plante sauvage dans un jardin. Enraciné dans la culture bretonne, la mort est souvent montrée comme une menace que les superstitions tentent de contrôler. Face à elle, on se retrouve très vite en position de proie. Lorsqu’elle nous a vu, plus rien ne sert de courir, plus rien ne sert de se cacher ! Il fallait juste éviter que son regard ne vienne se porter sur nous. Ce mois-ci, j’ai décidé de m’intéresser à deux contes qui traitent ce sujet avec des tons un peu différents. La manière de traiter la mort sera donc différente, mais toutefois, ils se rejoignent à travers une certaine leçon sur les perceptions que l’on peut avoir d’un événement. J’ai décidé de ne pas les réécrire. La première raison est qu’en ce moment, et sans doute durant tout l’été, j’ai pas mal de travail. Et donc un peu moins de temps à consacrer à de l’écriture. La seconde raison, c’est que j’ai aussi voulu vous faire profiter de leurs textes originaux. Enfin, originaux, les contes Bretons où d’ailleurs, vivent et évolué d’une bouche à l’autre. Néanmoins, Anatole Le Braz, qui a récolté les deux contes qui vont suivre, a voulu préserver la pureté de ces histoires qu’on lui a raconté. Et ce, bien qu’il ait dû les traduire du Breton au Français. Je me suis alors dit que c’était une bonne idée si moi aussi, je tentais de préserver cette pureté. Ainsi, ces histoires sont celles d’un homme qui suit un mystérieux prêtre dans la nuit, et celle d’une blague qui tourne mal. Mais je ne vous en dis pas plus, les contes eux-mêmes, s’en chargeront. Musique :Sarabande de Georg Friedrich Haendel et interprété par Joël CumminsDevil's Organ de Jimena Contreras
Le conte qui va suivre, est une adaptation que j’ai faite des Pleureuses de Jean Markale. C’est un conte qui est tiré de son recueil Conte Populaires de Toutes les Bretagne. A la fin de ce conte, l’auteur nous informe que le récit aurait été recueilli de la bouche d’une couturière de Nantes en 1897. Et ça, quelque part, ça me laisse penser que cette histoire a un fond de vérité. Parfois j’imagine les contes, recueillis par les différents folkloristes, comme étant des vraies histoires qui sont arrivées à des gens de tous les jours. Ces vraies histoires, circulant de bouche à oreille, sont déformées par ceux qui les racontes afin de combler certains trous. Quelque part, c’est comme si certains contes prenaient racines dans le commérage. On raconte à d’autre ce qui est arrivé à notre voisin. Et bien que le conte d’aujourd’hui est une histoire de fantôme, elle est d’abord l’histoire d’un couple de la vie de tous les jours. Et c’est vraiment ça que j’aime dans ce récit. Je suis convaincu que ce couple a réellement existé. Ont-ils vraiment vécu tous ce qui raconté à leurs propos, sans doute que non. Mais finalement, est ce que c’est si important que ça ? Parfois les histoires, pour mieux exister, doivent se débarrasser de la réalité. Elles ne cherchent pas alors à prouver en quoi la réalité, dans laquelle nous vivons vous et moi, peut permettre que tout se finisse bien. Elles cherchent peut-être juste à réparer un peu les choses, à créer un monde alternatif dans lequel, enfin, le personnage aura gain de cause.Et ce que certains appellent « naïf », moi, c’est ce que je qualifie justement de beau. Cette histoire est celle d’un couple modeste, de fantômes dans le grenier et d’un trésor bien gardé.Mais je ne vous en dis pas plus, le conte, lui-même, s’en chargera.
L'histoire est tirée du recueil "Contes de la brume et du soleil" d'Anatole Le Braz.Ce conte est celui d'un mystérieux inconnu, d'un charbonnier qui vacille entre illusion et désillusion et d'un message de mauvais augure. Musique : Awake de Emmetelle.
L’histoire a été collectée et réécrit par Jean Markale et réadaptée mes soins.Ce conte est celui d’un nouveau né, d’un père inquiet et d'un homme juste comme parrain. Musique : To The Great Beyond de Stellardrone
Nous le savons tous, il y a des histoires que l’on transmet de génération à génération ! Ces histoires se transforment, se métamorphosent! Leurs véracités se retrouvent parfois bousculés et leurs significations aussi, par la même occasion. Ce sont des histoires auxquelles on fait le choix de croire ou des histoires auxquelles on refuse de croire ! Ça dépend de chacun ou alors, plus précisément, ça dépend de l’expérience que chacun est en train de vivre au moment même où il choisit de croire ou de ne pas croire à une histoire !L’histoire a été écrite par Ernest du Laurens de la Barre et humblement revisité par mes soins ! Ce conte est celui d’un manoir sinistre, d’un vieux fantôme et d’une jeune femme qui a besoin de rompre avec sa condition !
Bonjour, je suis Fab,Nous sommes le vendredi 13 janvier 2023 et bienvenue sur l’épisode 9 d’apologue.Le conte de ce mois ci est un conte de Noël. Il s’appelle même Conte de Noël et a été écrit par Maupassant. Je n’ai bien sûr pas changé une seule ligne ! Cet épisode de Noël sort avec un peu de retard, mais c’est pas très grave puisque dans ce conte, il ne s’agit pas tant de Noël que de superstition et de fantasme lié à la possession démoniaque... Vous l’aurez compris, cette histoire tend plus vers le conte horrifique que le conte de Noël bon enfant. Bon enfant ? Quelle coïncidence ! Il s’agit justement du nom du personnage narrateur de l’histoire.Mais je ne vous en dit pas plus, le conte lui même s’en chargera !
Ce conte est celui d'un homme qui méprise, de revenantes qui se vengent et de la mort qui nous surveille... Il a été collecté et réécrit par Émile Souvestre !
Ce conte est celui d'un géant, d'une âme bien protégée et d'un jeune garçon qui devra faire face à ces deux revers de la même médaille. Elle a été collectée par le merveilleux folkloriste Jean Markale.
Ce conte est celui d'un ferme abandonnée, d'un homme au courage exemplaire et d'une âme damnée. Il a été recueillie par Jean Markale (Contes populaires de toutes les Bretagnes) et se situerait à Pont Croix, dans l'Ouest du Finistère.
Les contes bretons sont souvent liés à la mort ! Au-delà du légendaire Ankou, la mort et tout ce qu’elle comporte en elle de terrifiant, de glaciale, de soudain et d'inconnu s’invite dans ces histoires de la tradition orale, presque comme une plante sauvage dans un jardin. Enraciné dans la culture bretonne, la mort est souvent montrée comme une menace que les superstitions tentent de contrôler. Face à elle, on se retrouve très vite en position de proie. Lorsqu’elle nous a vu, plus rien ne sert de courir, plus rien ne sert de se cacher ! Il fallait juste éviter que son regard ne vienne se porter sur nous. Ce mois-ci, j’ai décidé de m’intéresser à deux contes qui traitent ce sujet avec des tons un peu différents. La manière de traiter la mort sera donc différente, mais toutefois, ils se rejoignent à travers une certaine leçon sur les perceptions que l’on peut avoir d’un événement. J’ai décidé de ne pas les réécrire. La première raison est qu’en ce moment, et sans doute durant tout l’été, j’ai pas mal de travail. Et donc un peu moins de temps à consacrer à de l’écriture. La seconde raison, c’est que j’ai aussi voulu vous faire profiter de leurs textes originaux. Enfin, originaux, les contes Bretons où d’ailleurs, vivent et évolué d’une bouche à l’autre. Néanmoins, Anatole Le Braz, qui a récolté les deux contes qui vont suivre, a voulu préserver la pureté de ces histoires qu’on lui a raconté. Et ce, bien qu’il ait dû les traduire du Breton au Français. Je me suis alors dit que c’était une bonne idée si moi aussi, je tentais de préserver cette pureté. Ainsi, ces histoires sont celles d’un homme qui suit un mystérieux prêtre dans la nuit, et celle d’une blague qui tourne mal. Mais je ne vous en dis pas plus, les contes eux-mêmes, s’en chargeront. Musique :Sarabande de Georg Friedrich Haendel et interprété par Joël CumminsDevil's Organ de Jimena Contreras