Je, tu, nous changeons le monde. Parce que nous sommes nombreux à nous être réveillés un matin avec une idée folle, une idée qui chamboule, qui change le monde. Certains ont décidé d’aller au bout de cette idée, de la transformer en vision puis en action. Mais ils ne l’ont pas fait seuls parce qu’ils savent qu’ensemble on va plus loin. Anatomie d’un collectif, c’est le podcast dédié aux personnes qui veulent changer le monde et qui ne veulent pas le faire seules. Pour ça, je pars à la rencontre de celles et ceux qui ont tenté l’aventure de la coopération. Et je veux tout savoir : leur projet, leur choix de ne pas y aller seuls, les étapes de création, les espoirs et déboires. Tu l’auras compris, ici on décortique le collectif avec l’intention de transmettre, d'inspirer et, qui sait, de te donner l’impulsion de te lancer à ton tour.
Je, tu, nous changeons le monde. Parce que nous sommes nombreux à nous être réveillés un matin avec une idée folle, une idée qui chamboule, qui change le monde. Certains ont décidé d’aller au bout de cette idée, de la transformer en vision puis en action. Mais ils ne l’ont pas fait seuls parce qu’ils savent qu’ensemble on va plus loin. Anatomie d’un collectif, c’est le podcast dédié aux personnes qui veulent changer le monde et qui ne veulent pas le faire seules. Pour ça, je pars à la rencontre de celles et ceux qui ont tenté l’aventure de la coopération. Et je veux tout savoir : leur projet, leur choix de ne pas y aller seuls, les étapes de création, les espoirs et déboires. Tu l’auras compris, ici on décortique le collectif avec l’intention de transmettre, d'inspirer et, qui sait, de te donner l’impulsion de te lancer à ton tour.
Hôte de podcast, ce n’est pas seulement faire son auto-promotion.
C’est couvrir une thématique, proposer une information pointue sur un sujet qui nous tient à cœur. Pour moi, c’est avant tout donner la parole à des femmes et des hommes sur un sujet précis. Ici, je tends le micro à des explorateurs de la coopération.
Pour cette semaine de Podcasthon, je suis ravie de donner la parole à Sihem Jacques de la Fondation Ekozali.
Sihem, je la connais, même très bien. Nos cœurs ne se séparent plus depuis notre rencontre, il y a 15 ans. La fondation, je la connais aussi, puisque je suis membre de son conseil d’administration depuis plus de trois ans. Je la vis de l’intérieur, et c’est avec elle que je découvre la force du collectif.
La Fondation Ekozali prend soin de ceux qui prennent soin. Chaque jour, des millions de personnes prennent soin de nous, de nos proches : soignants, professeurs, personnels d’ONG. Ces individus passent leur vie à améliorer la nôtre. La Fondation s’est posé une question : comment vont-ils ? Comment se sentent-ils au quotidien ? Et la réponse, vous vous en doutez, n’est pas celle que l’on souhaiterait, elle n’est pas juste.
La Fondation Ekozali veut rétablir cette injustice. Elle accompagne les personnes de première ligne vers le mieux-être et la prévention du burn-out. Pour cela, elle s’est entourée d’experts – psychologues, thérapeutes, coachs – qui s’engagent à accompagner ces publics.
Un jour de janvier, Sihem a eu cette idée folle, cette idée qui change le monde. Elle a décidé de ne pas y aller seule et, aujourd’hui, elle nous raconte la construction de ce collectif engagé. Ensemble, on aborde la création d’un conseil d’administration en gouvernance partagée, la création d’un processus de recrutement en collectif et tout ce qu’engendre l’animation de communauté à distance, en deux langues et à travers quatre continents.
À la fin, Sihem nous partage des outils concrets pour assurer la prise de décision en collectif.
Dernière précision : Nous avons fait notre maximum pour assurer une bonne qualité sonore malgré un enregistrement à distance. J’espère que les quelques interférences ne vous couperont pas du fond de notre échange.
Pour retrouver la Fondation Ekozali
Pour échanger avec Sihem Jacques
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Jingle sur-mesure par Philippe Drevet
Illustration aquarelle par Noémie Labrosse
