
En traitant du crime, du mal et du châtiment, Dostoïevski nous dresse dans son œuvre un immense tableau de la justice. Et dans chacun de ses romans : la faute. Mais elle n'est jamais ce à quoi on pourrait s'attendre... Pourquoi Dostoïevski prône le juste plus que la justice ? Pourquoi décline-t-il la faute sous tant d'aspects ? Qu'attendre du fautif ?