Quand Amélie se projette dans sa parentalité, elle se dit qu’il suffirait qu’elle aime très fort ses enfants, pour que tout se passe bien et coule de source.

C’était bien avant de ressentir les vertiges de la parentalité, avant de découvrir que parfois deux parents vont dans des directions opposées, avant de comprendre que ce n’est pas si simple d’être un parent et que s’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer nous ferions de ce monde un rêve, une éternité ? Peut-être pas

En tout cas, même si l’amour est le socle et le carburant de la parentalité, il n’est pas toujours suffisant pour contrer nos réactions réflexes.

Je laisse la parole à Amélie qui nous partage son histoire, son cheminement, ses doutes et ses victoires.

Bonne écouté !

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