Là on était gaiement en train de passer 24h à Angers et Laurane me parlait des meilleurs souvenirs qu'elles a vécu à Angers. Et ce qui est marrant c'est que ses plus beaux souvenirs c'est que c'était les premières fois où elle a été dans ses lieux.
Et étrangement au menu de ses meilleurs souvenirs, bah y avait du cassoulet dans un brunch... Je répète : du cassoulet au brunch.
Je sais pas où situer ça entre Quoikoubé et la Tektonik....
Scroller c'est finir par oublier de vivre.
Genre la vraie dehors avec les copaings, ou juste le fait de se retrouver seul. Alors que bah y a plein de petits plaisir de la vie qui existent encore. Et c'est de ça dont on discutaille gaiement : La vraie vie kwa
Avez-vous déjà vu des noirs en camping, sincèrement ? Aaaah c'est aussi fréquent qu'une coupe du monde ou de trouver du Vibranium ça (référence à Black Panther : chuis trop drôle)
Mais bref ! à la base on parlait de Bordeaux.
Et si tu te demandes comment on est arrivés là baaah : press play mon gâté.
Altruistiquement vôtre.
Passé les 25 ans c'est un poco plus complicado de se faire des amis comme on dit au Japon.
Donc des endroits où on peut rencontrer des gens bah tout de même on dit oui. Et bah y en a un muy muy special.
A la baaaaase on discutait gaiement de ce que donnerait une journée en couple quand la routine s'installe. Et ça ça touche tout le monde. Et du coup bah cette conversation est d'intérêt mondial.
Des fois on est posés devant Netflix mais on sait plus quoi regarder avec la personne qu'on aime. Ou alors on peut tellement être occupé ou sans inspi qu'on sait plus comment se divertir en fait. Et c'est bon, le ciné et les roses c'est déjà vu.
Célibataire, divorcé, ou moment entre amis, prenez place parce que se retrouve on peut avoir besoin, peu importe le moment de notre vie (moooooooooooooooooh c'est beau).
"Un adulte il grandit avec un enfant mort au fond de lui" - Panayotis
On m'a dit qu'on se met à rêver d'avoir des enfants quand on a abandonné le fait de vivre nos propres rêves... ou de les lui transmettre par le biais de frustrations et de traumas.
Alors euuuuh ça me paraît drastique. Mais je pense que pour éviter tout ça faut être un bon adulte épanoui. Et un bon adulte épanoui c'est l'enfant en lui qui est pas trop abîmé.
Affaire à suivre (prenez les popcorns)
"Le manque de liberté des femmes VS les insécurités refoulées des hommes" - Moi
Ce que j'ai tristement remarqué c'est que la femme a plus ou moins des droits, en fontion de ce que l'homme accepte de lui accorder. Mais que la personne qui dicte cela reste la même (aka l'homme aka Lucifer, pour les intimes).
Et puis "dites à ces mes messieux que c'est bien prétentieux, d'apprendre la vie, à celle qui la donnent ". - Youssoupha
"La femme voudrait être l'égale de l'homme... elle n'arrivera pas à monter si bas" - Médine.
En vrai, prendre quelqu'un pour acquis ça demande pas vraiment d'efforts. Mais on oublie que la personne que tu prends pour acquis reste 100% désirable aux yeux d'une autre personne.
Et la balance est assez inégale quand on sait la charge mentale et sociale que portent les femmes.
C'est quand même fou qu'on ait attendu la seconde guerre mondiale et l'invention du bikini pour donner le droit de vote aux femmes.
Et grosso modo c'est autour de ce jeux là, de ces prismes sociaux qu'on discutaille, tels des philosophes wokes et torturés que nous sommes.
"On s'fait du mal pour s'faire du bien c'est immonde" - Alonzo
Et ça reflète bien le burn out.
C'est fou quand même de perdre de vue le fait de vivre.
Faut pas que le travail prenne le pas sur la vie, j'suis pas sûr que c'est ce qu'on retiendra à la fin du jeu de la vie.
Je pense que plus on prend de l'âge plus on a tendance à banaliser le vivant. On devient un monarqué blasé et insatisfait. Maaaaaais le jour où on finit par perdre ce qu'on a bâti on finit par regretter de ne pas y avoir pensé. Donc je pense pas qu'on perd de l'épanouissement au travers du temps, c'est qu'on ne prend plus le temps d'en ressentir la gratitude.Alors que ces moments là ils restent pour sûr. Un bon repas entre copaings,le rire, les discussions insipides sur la politique, les plats de mamie... Quoicoubeh
Et c'est pas les notifs, les réseaux et Uber eats qui vont nous bercer à penser autrement.
Et c'est de ça dont on parle : ces petites étincelles de vie qui ne s'éteingnent jamais (waaaaaow nan l'écriture de ce type me donne envie de daber).
Motema c'est des moninga qui me partagent les meilleurs souvenirs de leur vida. C'est un voyage au sein d'une ville d'un pays mais aussi d'une personnalité. Et on est pas chez Tefal, mais quand même qu'est-ce qu'on se poêle. Bah ouais parce que c'est la vie kwa.
Et d'ailleurs ça permet aussi d'apprendre à connaître l'autre.
Parce que quand on voyage le monde paraît plus petit, alors il fait moins peur🎧 🌍
Et comme dirait Sadek, la mort n'arrête pas l'amour, mais aimons nous vivants.